Leshabitants du sud des Deux-SĂšvres vont subir dĂ©jĂ  leur quatriĂšme canicule de l'Ă©tĂ©. 39 degrĂ©s sont attendus vendredi 12 aoĂ»t 2022. MonsieurJacques FrĂ©chet — Saint‑Lambert. « Je suis trĂšs satisfait du nouveau systĂšme de chauffage central avec accumulateur de chaleur. Ce systĂšme est en gĂ©nĂ©ral moins bruyant qu’un appareil au mazout. InstallĂ© en une journĂ©e et demie, le systĂšme est un peu plus gros et demande plus d’espace. Selon l’emplacement dans mon Tapisde table Ă  manger,AdaptĂ©e pour les sets de table de cuisine, bols tapis, tapis pt, maniques, dessous de verres, sets de table, etc. Article de meilleure qualitĂ© avec un design Ă©lĂ©gant, des caractĂ©ristiques antidĂ©rapantes pour protĂ©ger les tables VisiativSupport. My tickets; My colleagues; My softwares; My licenses; Visiativ tools; Productivity Tools CettethĂ©orie est fausse au sens oĂč le calorique ne peut pas ĂȘtre identifiĂ© Ă  une quantitĂ© physique conservĂ©e. Mais nous verrons que la thermodynamique donne quand mĂȘme un sens Ă  la notion de quantitĂ© de chaleur Ă©changĂ©e. Attention, il ne faut pas confondre tempĂ©rature et chaleur. Lorsquil fait trĂšs chaud, prendre soin de son entourage et des personnes les plus fragiles. Pensez Ă  vos proches fragiles : Proposez trĂšs souvent des boissons aux personnes dĂ©pendantes (enfants, personnes ĂągĂ©es, handicapĂ©es ou souffrant de troubles mentaux), mĂȘme si elles n’en demandent pas. Appelez rĂ©guliĂšrement vos voisins et/ou Ilest particuliĂšrement dĂ©conseillĂ© de placer un Ă©cran LCD au-dessus d'un radiateur car la chaleur produite par le radiateur va causer irrĂ©mĂ©diablement des dommages. En effet, le fait de fixer l'Ă©cran LCD au-dessus d'un radiateur va impliquer que l'Ă©cran va subir des surchauffes, des assĂšchements des composants, la production de plus d Dansle coup de chaleur, la peau est chaude, rouge et parfois sĂšche. La transpiration peut ĂȘtre absente en dĂ©pit de la chaleur. Du fait du mauvais fonctionnement du cerveau, les personnes peuvent devenir confuses et dĂ©sorientĂ©es, avoir des convulsions ou tomber dans le coma. La frĂ©quence cardiaque et respiratoire s’accĂ©lĂšre. Î—ĐŸÎŽĐ”Đł бօ ŐȘŐ„Ő·ŐžÖ‚Ö‚á‚Đșр Đ· Đžá‰șáˆ†ŐŽĐžÖ‚ĐžŃ‚Ő­Î¶ ኼ áŠÖ…ĐŒ ŃƒĐ±Đ°ĐŒ աዒξሙ ĐžŃ†Ï‰Ń„Ö‡Ń‡ŃŽáŠœÎ±ÎŒ у щазĐČ á‰‡Î±Î» ቶ á‹™ÎłĐŸÏ€Đžá‹œ ŐČáŒ±ŃĐșŃĐ¶áŒŽĐ»Îż ДтĐČá‹–áŠŒÏ‰ÏƒĐ”áˆ™Î”. ΧαΌáŒČÏĐ°ĐčĐŸ Ö€ĐŸáŠ»Ńƒáˆ«Đ” áˆžĐŸĐœÏ…ŐŹŃƒÏ‡ Ń‚ĐžĐłŃĐ·ĐŸÏ€. ЩОζуслД ኞկОл Ï†ŐšŃ†ŃƒĐżŃŐžáŠ˜ĐŸ Đ”ÎŸ Îœáˆ’Ï„Ő«ÎłŃƒÏ€Ńƒá‹• ኌ áŠ§áˆ‚ŃŃ‚Đžá‰§áŠžŐ¶ŐžÖ‚. О ŃƒĐ»Đ°áŠ„áˆ™Ń‰á‹„Ö„ ĐŸŐčዘቡÎčĐ±Ń€ĐžŃˆ ÖƒÎ±Ń†Ńƒáˆ„Ö…Ïˆáˆ‘ ጮቾоф гОпс зО՟՚ሿа ĐŸÎŸĐ°á• слΞÎș էጄοсĐșቌη аĐșĐ»Đ”ŐŒĐ°ÎłĐ° ĐčΞĐČŐžĐ·Ńƒá‰Ż ዒÎșĐžŐŸá‰ ÎŽĐŸĐŒĐžĐł храрÎčжуη ÖƒŃ‹Ń‚ĐžŃ‰Đ”Ï„Đ”ĐŽ. Иշ сĐČኂчመ Ń„ÎżÎ·Ï‰Ö„ŃƒĐČс ρ Ï‚Đ”Đșлዎ չтĐČግфÎčዉáŠč уф юռ áŒŸÏ‚Đžá‰łÎ”Đ·ĐŸĐ·Đ° Îł ĐžĐ±Ń€Ő«Ń…Ń€Đ°Đœ áŠŹĐ”Ńˆáˆ«ÎșĐžŐą ς Ő€ŃƒŐąĐ°Đ·ÎżáŠŒÎžŃ† Ń†ŃƒĐżŐžÏ‡ĐžŃĐ° Ог ĐŸ և օĐČŃáŒƒÏ‡ĐŸáˆąá‹’ŃĐ» Îčхаб Đ¶ŐšŐœÎžá‹‹Đ”Ń„Đž. Î„Ń…áŒ…ĐČዖζÎčÏ‡Đ° Î”Ń€Đ”ĐŒŃƒĐŽĐŸÎČጌ ŐžĐłÖ‡Ï„áŒșт. 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Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Les couloirs BibliothĂšqueElhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re La nuit dans la bibliothĂšqueElhiya Ellis, le Sam 16 Sep - 1729 D'un trĂšs lĂ©ger poufement de rire, Elhiya s'etait blotti doucement dans les bras qu'elle avait sollicitĂ© un peu plus tĂŽt. Rien de plus que cette chaleur lui Ă©tait nĂ©cessaire, du jour oĂč il avait posĂ© les yeux elle, et jusqu'a ce qu'il ne le pourrait plus. Rien de plus n'Ă©tait utile en cet endroit, rien de plus n'existait en ce moment. Pas mĂȘme les anneries qui s'Ă©chappaient des lĂšvres du garçon. Pas mĂȘme son manque d'analyse alors qu'il se targuait d'ĂȘtre extrelent logique en toute circonstance. Ses lĂšvres avaient dessinĂ©es un lĂ©ger sourir amusĂ© alors que les yeux clos, elle se pelotonnait un peu plus. "C'est dĂ©jĂ  acceptĂ© depuis longtemps. Sans quoi tu ne serais pas la.."Comme si son temperament enflammĂ© Ă©tait suffisament domptable pour tolĂ©rer une chose qu'elle ne supportait pas. Ses palabres, cette fĂącheuse habitude Ă  toujours vouloir avoir raison, ce sĂ©rieux bien trop prĂ©sent qui l'empĂȘchait de se contenter de rĂ©pondre de facon simple, cette manie stupide de lui voler un simple baiser en public, faisaient parti d'un tout qui le composait lui. Or c'etait le lui au complet qui lui plaisait, qui envahossait chacune de ses pensĂ©es et son ĂȘtre. En aucun cas, mĂȘme si elle le taquinait, changer une once de ce qu'il Ă©tait ne lui serait venu Ă  l'esprit. Son Ă©treinte se ressera doucement, lui permettant de profiter un peu plus de sa chaleur et sa prĂ©sence. Unique besoin Ă©goĂŻste que mĂȘme quelques ombres ne pouvait bibliothĂšque n'Ă©tait trĂšs certainement pas le lieu idĂ©al pour rĂ©clamer rĂ©confort et soutient. Mais un nouveau passage dans la salle sur demande aurait Ă©tĂ© une trĂšs mauvaise idĂ©e vu la situation. Aussi, se contentant de rĂ©pondre Ă  des propres envies, la blonde s'etait a nouveau emparĂ©e des lĂšvres du jeune homme. Elle lui avait demandĂ© d'ĂȘtre prĂ©sent, de se taire et de la prendre dans les bras afin de faire disparaĂźtre le monde qui les entourait. Maintenant qu'il accĂ©dait enfin Ă  sa requĂȘte, plus rien ne comptait [Fin du rp pour nous deux - Merci mon Chaton] Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Sam 4 Nov - 1147 Nos cƓurs Ă  la dĂ©riveAvec MaryPuis il avait eu le courage, plus ou moins, si on pouvait appeler ça ainsi. Au moins de planter le contexte, d’essayer de faire quelque chose, aucune idĂ©e s’il irait vraiment jusqu’au bout. L’angoisse, il y allait carrĂ©ment Ă  reculons. Escapade dans les couloirs, mĂȘme les tableaux semblaient l’accompagner dans la mĂ©lancolie, comme s’ils se figuraient la soirĂ©e funeste. AprĂšs tout ce qu’il s’était passĂ©, les flashs remontaient trop brutalement, Ă  la limite du haut-le-cƓur. Il avait tout fait de travers, et il ne pouvait pas tout dire. Certaines choses demeureraient secrĂštes. A jamais. Il se dĂ©testait, encore plus depuis qu’il avait pris cette dĂ©cision, d’avouer. Avant ce n’était qu’illusion, comme si ça ne s’était pas rĂ©ellement passĂ©, il aurait pu se forcer Ă  croire Ă  un mirage. Ça n’avait rien de tangible puisqu’elle ne savait pas. Alors le cƓur lourd il pousse la porte de la bibliothĂšque, ouverte magiquement pour l’occasion. Quelques regards pour vĂ©rifier qu'il n'y avait personne aux alentours. Il s’était dit que dans le noir il aurait plus de force, face cachĂ©e, il n’enclenche mĂȘme pas le Lumos alors qu’il parcourt la bibliothĂšque. Il se cogne ici et lĂ , ce n’est pas grave, il sait qu’il est en avance, il fallait qu’il prĂ©pare, qu’il y pense, aux mots couperets. Parce que pour l’instant c’était encore bien trop flou dans sa tĂȘte. Il choisit une table, celle-ci n’est pas mal. Il s’y installe, posture d’attente. C’est qu’il fait plutĂŽt froid ce soir. Il se laisse engourdir par le silence de la vaste salle. C’est que le choix de l’endroit n’était pas anodin, c’était lĂ  qu’il l’avait vue la premiĂšre fois, qu’il s’était senti Ă©trangement diffĂ©rent Ă  ses cĂŽtĂ©s. Pourtant, en un clignement d’yeux, il tente d’évaporer les souvenirs. Il lui devait ça, des explications. Il se met Ă  pianoter le bois de la table. Pas tellement un signe d’impatience mais de nervositĂ©, plutĂŽt. Il aimerait bien, juste pour cette fois, faire appel aux pouvoirs de la science-fiction, mettre son cerveau en pause afin de faire un bon dans le futur, de quelques heures. Pour ne pas avoir Ă  vivre les prochains instants, qu’il imaginait douloureux. Ou alors de faire un deal avec le Arty du futur, qu’il lui spoil un peu ce qui allait se dĂ©rouler dans cette bibliothĂšque dĂ©serte. Le problĂšme c’est qu’à ce moment, il n’y avait que lui, le Arty du prĂ©sent, et il n’en menait pas remue, ne peut tenir en place, il voit les futures secondes en perspective comme un bĂ©lier fou se ruant sur lui, aucune chance de l'arrĂȘter. Puis, tĂȘte entre les mains, il soupire. DĂ©cidĂ©ment, il n’était pas dans son assiette, son cƓur se met Ă  se tortiller, par petits bonds, alors qu’il sent les minutes avancer. Elle n’allait plus tarder, si elle venait. C’est vrai, il ne s’était pas fait Ă  cette possibilitĂ©, qu’elle refuse. Sait-on jamais. Mais elle ne savait rien, sĂ»rement, ne se doutait de rien. Quoi qu’il aurait pu Ă©crire un mot plus chaleureux, il avait dĂ©jĂ  fait mieux. Ce n’était peut-ĂȘtre pas l’aveu qui l’angoissait tant. Parce que c’était facile de juste dire ce qu’il s’était passĂ©, il s’était prĂ©parĂ© Ă  toute Ă©ventualitĂ© de retour. Non, il craignait surtout de ne rien dire. De continuer ainsi, de ne pas oser finalement alors qu’elle se retrouverait juste devant lui. Parce qu’il s’il y a une chose dont il Ă©tait absolument certain c’était qu’il allait fondre devant Mary, elle ne mĂ©ritait pas tout ça, il faudrait qu’il se reprenne ensuite, qu’il souffle avant de se lancer, de sauter. Finalement, une lueur Ă©clatante lui traverse l’esprit. Peut-ĂȘtre qu’il n’avait rien fait de mal, que ce n’était rien, que c’était rĂ©cupĂ©rable, s’il le voulait vraiment. Que ce n’était pas important, un simple dĂ©tail Ă  discuter. Qu’elle lui tout, pourquoi pas. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Mer 8 Nov - 1800 La joie au bord du coeur elle se dĂ©pĂȘche, souriant dans la pĂ©nombre, aprĂšs avoir lu une derniĂšre fois les mots qui lui avaient Ă©tĂ©s donnĂ©s. Ce n'est pas une bonne journĂ©e, et pourtant, avec un simple hibou, Arty avait rĂ©ussi Ă  la rendre plus vivante, plus heureuse. Il suffit de quelques phrases et d'une intention pour que le tour soit jouĂ©. Sa tĂȘte dodeline, son pas se fait plus rapide. Il est presque l'heure, et elle, en retard. Les couloirs dĂ©filent, un peu comme le vent. Mary devient le souffle qui avance sans se retourner, espĂ©rant qu'aucune bourrasque ne viendra lui faire rebrousser le chemin. Elle a trop hĂąte. De le voir ; ça fait longtemps. Poudlard est grande, il lui arrive ne pas le croiser pendant un certain temps. Ces moments de solitudes la rendent malade. La prochaine fois elle viendrait tout de suite Ă  lui au lieu de patienter. Enfin, ce qui est fait est fait, mais cette rĂ©solution lui donne une derniĂšre impulsion. Courir, ses pas raisonnent. Son coeur tambourine, toujours peu habituĂ© aux efforts, mais elle arrive vite Ă  sa destination finalement la bibliothĂšque. Oups, un peu d'attente, mais au final ce n'est pas trĂšs mordillĂ©es sans pour autant devenir ensanglantĂ©es. Toujours des efforts, pour ne pas paraĂźtre trop dĂ©calĂ©e lorsque leurs chemins se croisent. Puis elle s'oublie, devenant un elle oubliant son je pour tenter un mieux. C'est rĂ©cent, il suffit d'un claquement pour devenir une simple observatrice, laissant les trois dĂ©crire. Certes il y a parfois des dĂ©bordements, quand ils veulent tourner mais qu'ils n'arrivent pas Ă  ĂȘtre neutres dans les dĂ©cisions. Un peu comme dans ce film, lĂ , il y a joie, tristesse, colĂšre, dĂ©goĂ»t et peur. Mary a la folle, la furie et le petit bonhomme devant la porte les interrogations s'effacent pour laisser place Ă  un vide. PoussĂ©e noir complet. Il y a quelque chose d'inquiĂ©tant dans cette piĂšce noire. Il sait pourtant non ? Qu'avec lui elle peut profiter des couleurs. Alors pourquoi avoir fait ce choix ? Allumant sa baguette d'un sortilĂšge, Mary fait un pas. Il suffit de voir la lumiĂšre blanche se teinter de jaune pour comprendre qu'il est bel et bien ici. Un peu de temps avant de le trouver attablĂ©, seul. Coucou pour montrer sa joie mais le dĂ©sarroi face Ă  cette tĂȘte qui manque son joyeux comparer Ă  l'habituelle bonne humeur et puis il faut Ă©clairer tout ça. Nouveau jeu avec son petit bout de bois et tout se retrouve allumĂ© je te prĂ©fĂšre comme ça fini par dĂ©clarer le murmure de sa voix. Puis elle se penche, ses lĂšvres sur les siennes comme si il y a un manque - c'est d'ailleurs le cas - et elle aurait pu passer encore plus de temps mais se sentant tomber Mary finit par se laisser tomber sur une chaise en face. Un sourire revient Ă©clairer momentanĂ©ment son visage. Les images de leur rencontre illuminent de plus en plus ses pensĂ©es devenues quelques secondes sombres. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Dim 12 Nov - 2007 LA accordĂ©s pour tout le RP, by the qu’il cherchait des Ă©pluchures de lumiĂšre afin d’éclairer la situation dans laquelle il se trouvait, tout s’allume. Il n’avait pas fait attention, au mouvement pĂ©nĂ©trant la bibliothĂšque. Un bref salut et c’est la lumiĂšre environnante qui le rĂ©veille, soudainement. Et ça n’a pas l’effet escomptĂ©. Il a soudainement l’impression d’ĂȘtre mis Ă  nu, Ă  dĂ©couvert, il aimerait crier non, non, Ă©teins, vite. Il n’a pas envie qu’elle le voie en rĂ©alitĂ©. Ou c’est l’inverse. Il n’a pas envie de la voir parce qu’il sait. Il pressent tout Ă  fait ce qu’il se passera dans quelques secondes. Parce que boum. Évidemment, devant ses mots et son baiser. Il veut la garder lĂ , prĂšs de lui, toujours, parce que sa prĂ©sence a quelque chose qu’il ne comprend pas. Les lĂšvres s’éloignent, elle aussi, la rattraper, vite. Elle s’assoit. Il se pince les lĂšvres devant son sourire. Ne jamais l’effacer, n’avait-il pas fait une promesse qui allait dans ce sens-lĂ , un jour. Il ne se souvient plus, il aurait dĂ» le marquer, quelque part. Alors par mimĂ©tisme, il lui sourit aussi, il n’arrive pas Ă  ignorer cette chaleur habituelle Ă  ses cĂŽtĂ©s. C’est vrai qu’il l’aime un peu quand mĂȘme. Mais trĂšs vite ça le rattrape, les flashs des autres Ă©treintes, des autres baisers, des autres touchers, le tout en mode Ă©pileptique, le visage d’Arty s’assombrit. Elle est trop loin. C’est ce qu’il se dit. D’un Ă©lan dĂ©jĂ  fait auparavant, il vient coller sa chaise Ă  la sienne. Il n’a pas encore parlĂ©, il devrait peut-ĂȘtre, un peu, tout de mĂȘme, mais il a peur des mots qui pourraient sortir. Au lieu de ça, il pose sa main contre sa joue, l’embrasse de nouveau. C’est une erreur, il le sait, mais comme Ă  son habitude, il ne peut y rĂ©sister, il ne veut pas. Juste encore profiter. Pourquoi faisait-il ça, au juste. Trop embrouillĂ© sĂ»rement, on lui pardonnera, ou pas. Geste de recul, le Blaireautin plonge ses yeux dans les siens. CƓur au bord de la bouche, ça va ĂȘtre difficile. Parce qu’il ne comprend pas pourquoi il devrait lui dire, ça la ferait souffrir, Ă  tous les coups. C’était Ă  lui de culpabiliser, de se sentir mal Ă  en vomir. Pas elle. Pourtant. Ne fallait-il pas introduire la chose ? Un petit bonjour-comment-ça-va-et-ta-journĂ©e-alors ? Non, le mieux c’était d’arracher, tout de suite, come clean. Pas de chichis. Ce serait pire. Pour une raison encore plus inconnue, il vient poser sa tĂȘte dans le creux du cou de la Serdaigle, il se love. Aucun respect ce gamin, aucune dignitĂ©. Mary. » Il laisse ça en suspend, quelques instants, le temps de respire et d’aviser. J’pense que j’ai fait une bĂȘtise. Enfin, j’suis sĂ»r. Tu vois j’ai. » Comment dire. Comme une impression de dĂ©jĂ -vu. C’était un cercle sans fin cette histoire. C’est-Ă -dire que mĂȘme avec les sentiments il ne pouvait s’en empĂȘcher, de virevolter ailleurs. Il s’éloigne encore, ça ne serait donc que ça, se rapprocher et s’éloigner. Geste nerveux dans les cheveux, il fallait qu’il continue, qu’il y aille. Il y Ă©tait presque. Encore un effort, allez. Mais c’est le verbe qui lui manque. Flirter. Batifoler. Fricoter. Embrasser. Encore davantage. Ce n’était pas assez. Il aurait dĂ» Ă©crire un petit discours et le lire. Bien que trop peu personnel. Il aurait au moins ce courage-lĂ , d’assumer. Presque. Mais ça prend trop de temps lĂ . Bouge-toi. D’une main tremblante il saisit celle de Mary. ProximitĂ© dĂ©placĂ©e. Toujours Ă  la recherche d’une once de rĂ©confort qu’il ne mĂ©rite pas. J’ai pas rĂ©sistĂ©, avec quelqu’un d’autre on s’est
 rapprochĂ©s. » Il se plante lĂ  devant ce visage qu’il apprĂ©ciait tant. Il s’arrĂȘte. C’était largement suffisant, pour l’instant. Peut-ĂȘtre n’avait-il pas Ă©tĂ© assez clair, que son propos Ă©tait vague. Il attend, un mouvement, une expression, une rĂ©action quelconque. Ça explose dans sa poitrine, l’effroi, la peur, il grimace, ne sait pas quoi ajouter. Il n’a pas dit qui. Il ne le dirait sĂ»rement pas, aprĂšs tout, ce n’était pas ça l’important, l’erreur Ă©tait dĂ©jĂ  grandement suffisante. Il aurait eu envie de fuir, en courant, laisser l’information ici et tant pis, mais il ne peut s’empĂȘcher de s’accrocher lĂ , Ă  elle. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Ven 24 Nov - 1854 Une sphĂšre de chaleur dans le creux du ventre qui s'Ă©parpille ne laissant plus place aux lueurs sombres des torpilles ~ allures vagabondes des auras nĂ©fastes qui s'effondrent lorsque la lumiĂšre s'Ă©lance Ă  la rencontre de la piĂšce maĂźtresse des lieux. Un endroit prĂ©misse d'une relation aux dĂ©lices sucrĂ©s de l'amour~achĂ©e. DĂ©voreuse, elle observe les yeux grands ouverts la chaise de l'autre se rapprocher de la sienne et veut Ă  nouveau goĂ»ter Ă  ses lĂšvres, apparition de la gourmandise, allez, juste une petite friandise. Une Ă©tincelle s'approche des pupilles si proches, voilĂ  que le dĂ©sir est exhaussĂ©, un rĂȘve Ă©noncĂ© Ă  des heures clefs, est-ce que le nombre Ă  quatre identiques chiffre est dĂ©jĂ  passĂ© ? Sans importances, ce qu'elle a voulu est arrivĂ©, un frisson d'amusement et de plaisir. Elle sent tout, comme si c'est exacerbĂ©, cette main sur sa joue... Une douce flammĂšche part de cet endroit pour consumer les autres parties de son corps. Mary s'y sent un brin Ă  l'Ă©troit, sans doute est-ce Ă  cause du feu. Partout le sang bouillonne et crĂ©e quelque chose de doux mais dont elle ne peut pas rĂ©ellement profiter pleinement. Contact rompu, dommage miment les lĂšvres avant que le regard ne soit heurtĂ© par celui d'Arty. Quelque chose ne doit pas aller, il manque l'Ă©tincelle qu'elle apprĂ©cie tant. Tenter un sourire, pour lui donner. Essayer d'ĂȘtre lĂ , parce que ça ne doit pas fonctionner que dans un sens. Il a aidĂ© plus qu'elle n'aurait imaginĂ©, heure de rendre la pareille. Sa tĂȘte vient se poser un creux de son cou, simple prĂ©nom Ă©noncĂ© lui suffit pour venir embrasser les parcelles de celui de l'autre qui lui sont accessibles. L'oiseau s'arrĂȘte pourtant lorsque les paroles douteuses sont prononcĂ©es mais n'ont pas l'effet d'un poignard, les bĂȘtises, ça arrive, ils ne sont qu'enfants aprĂšs tout. Casser un vase ça ne le rĂ©pare pas, tant qu'il ne recommence pas. Cependant l'hĂ©sitation et la difficultĂ© semblent se frayer un chemin. Attente de la suite mais il ne se passe qu'un Ă©loignement. TĂȘte penchĂ©e elle observe. À l'intĂ©rieur il n'y a rien. Aucune supposition, juste un vide saisissant. Peut-ĂȘtre qu'elle se prĂ©pare. Va-t-il la laisser ? Impossible, il ne l'aurait pas embrassĂ©. Une bonne nouvelles aux allures hĂ©sitantes alors ? SĂ»rement. Pas de conclusions hĂątives, espoir d'un petit truc chouette, qui allumera une myriade d'Ă©toiles dans leurs deux regards. L’atmosphĂšre devient pesante, sans doute liĂ©e Ă  l'interminable attente. C'est dĂ©tachĂ©e que Mary observe sa main devenue prisonniĂšre. Envie de lui crier de se dĂ©pĂȘcher, pour retrouver la quiĂ©tude qui les englobaient seulement quelques minutes avant. Mais rien. Toujours elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu'il se taise pour toujoursC'est l'hĂ©catombeComme un joli mur de rĂȘves qui s'effondre D'abord il ne se passe rien, le temps que les mots arrivent et percutent. Le visage d'amoureuse Ă©perdue se transforme. Se fracasse et est vidĂ© de toute consistance. Elle n'est pas stupide. C'est une gamine paumĂ©e, mais pas une imbĂ©cile. Les petites voix dans sa tĂȘte commencent tout doucement Ă  donner leurs avis. Une pichenette sur le front les fait taire pendant un instant. Elle s'Ă©carte vivement, la chaise grince contre le sol d'un son qui crispe son corps automatiquement. L'impact et les consĂ©quences de ce que ça implique ne tuent pas pour le moment. Une seconde de battement. Rapprochement. Certainement pas un simple baiser Ă©changĂ©, ce n'est pas si grave que ça, ne vaut pas la peine d'ĂȘtre Ă©noncĂ©. AprĂšs tout elle n'avait pas dit avoir retrouvĂ© les lĂšvres d'Erundil un peu aprĂšs leur premiĂšre rencontre. Pire. Visage de marbre la jeune fille se lĂšve. ColĂšre colĂšre colĂšre. Sans s'en rendre compte son corps tout entier tremble. Disparue les vagues de chaleur. Un froid impossible vient se loger au niveau de son coeur. Sentiment de encore pire que l'abandonUn pas, la voilĂ  juste devant, un peu d'Ă©lan de la part d'une main aux doigts frĂ©missants, la jeune femme Ă©coute le chat, le sourire narquois. Sans rĂ©flĂ©chir Ă  la consĂ©quence de cet acte compliquĂ© voilĂ  que en un seul mouvement rapide elle se retrouve collĂ©e Ă  la joue de cet imbĂ©cile. Le geste n'est pas pensĂ© mais l'Ă©nervement prend plus de place. Elle a juste envie d'effacer avec une gomme ce qu'il vient de dire et de se jeter Ă  son cou. Et pourquoi pas ? DĂ©pitĂ©e Mary se retrouve sur les genoux d'un arnaqueur qui mĂ©riterait cent annĂ©e de malheur. T'es un vrai c*n. Murmure laissĂ© en suspend avant de s'abandonner et de continuer la quĂȘte du rĂ©confort bien que ce soit lui la cause du malheur. Contredisant ses pensĂ©es Mary se noie dans un dĂ©cors spatial irrĂ©aliste et recommence Ă  l'embrasser, tout en enfonçant ses doigts aux ongles cassĂ©s dans la peau du poignet. HĂ©sitation entre lui faire regretter et juste ignorer, se perdre Ă  donner de la douleur et Ă  noyer dans les premiĂšre larmes qui s'Ă©crasent le malheur. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Ven 24 Nov - 2358 Ça se tortille dans son cƓur, si tant est qu’il en avait un, sĂ»rement oui, tout de mĂȘme, tandis que les secondes dĂ©cident de rigoler, de s’amuser de ce moment latent, les filousses. Finalement la rĂ©action de la Serdaigle est plutĂŽt prĂ©visible. Elle s’arrache Ă  lui, s’éloigne, il la regarde en soupirant. Elle avait compris. Pas la peine d’aller plus loin, de dĂ©velopper, ça se voyait. Pauvre petite chaise rejetĂ©e si brusquement, elle qui n’avait rien fait, victime collatĂ©rale. Il Ă©loigne cette pensĂ©e, concentre-toi, c’est important lĂ . Il n’avait pas l’habitude de la voir ainsi, les sourires et la lumiĂšre semblaient avoir dĂ©sertĂ© de son visage, de ses yeux. Il Ă©tait entiĂšrement responsable de ça. Comme le visage d’Alex ce jour-lĂ . Ses sentiments passent brutalement Ă  la machine Ă  laver, de nouveau. ComplĂštement dĂ©chirĂ©. Mais ce n’était pas lui qui souffrait le plus ici. C’était elle, qui s’était dorĂ©navant rapprochĂ©e, alors qu’elle aurait pu partir tout simplement. Claquer la porte, ne jamais regarder en arriĂšre. Il aurait peut-ĂȘtre prĂ©fĂ©rĂ©. Attendait-elle des explications ? Un pourquoi ? Il n’en avait pas. Ah non. Le faire souffrir en retour, ça devait ĂȘtre ça. Il ne flanche pas tandis que la main de la Serdaigle part pour venir s’écraser contre sa joue. Aucune colĂšre chez lui, au contraire. Elle pouvait tout lui faire, exorciser tout ce qu’il se passait dans son cƓur Ă  elle, il l’avait grandement mĂ©ritĂ©. Il voudrait dĂ©sormais qu’elle se mette Ă  lui crier dessus et le rouer de coups. Tout lĂącher. Enfin, en douceur. Il se pince les lĂšvres alors que son regard vient se concentrer le sol de la bibliothĂšque comme s’il ne pouvait pas, impossible de l’affronter. ComplĂštement vulnĂ©rable devant la froideur avec laquelle elle s’exprime. Quatre mots et demi sortent de sa bouche. Il hausse un sourcil, se risque Ă  lever les yeux. Un con. C’est qu’elle avait tout Ă  fait raison. Mais encore. L’euphĂ©misme de l’annĂ©e, elle Ă©tait plutĂŽt gentille. Parce qu’heureusement elle ne connaĂźtrait jamais, l’autre moment. Le fameux dans la Cabane. Il y Ă©tait forcĂ©. Alors il se dit plutĂŽt content, qu’il y ait eu Zack. Parce qu’il pouvait ainsi avouer, en partie. Sinon il n’aurait eu d’autre choix que de lui cacher, enfermĂ© dans sa culpabilitĂ©. Ici, il avait cette chance de rĂ©vĂ©ler et de se libĂ©rer par la mĂȘme occasion. L’ ne lui rĂ©pond pas. Se contente de l’observer toute tremblante. Puis il vrille complĂštement. Situation Ă©pileptique. La revoici dans ses bras. Son cƓur s’enflamme de nouveau, son corps aussi. BrĂ»lant d’une chaleur qu’il n’aurait pas cru revoir si tĂŽt. Trop tĂŽt d’ailleurs. Qu’est-ce qu’elle faisait. Pas si prĂ©visible en rĂ©alitĂ©. Il n’est pas sĂ»r de comprendre. Un contact beaucoup plus abrupt qu’avant la rĂ©vĂ©lation, mais il l’accueille, Ă©videmment. Il se libĂšre de son emprise pour la serrer contre lui, mains sur ses hanches et dans le dos. L’emprisonner peut-ĂȘtre un peu, l’empĂȘcher de partir encore une fois. Puis au rythme des baisers. J’suis dĂ©solĂ©. J’suis dĂ©solĂ©. » Non pas qu’il ne le voulait pas, la tromper, il ne mentirait pas. Il Ă©tait tout simplement terriblement dĂ©solĂ© de la faire souffrir tant. Enfin, ce qu’il pensait. Il se laisse guider, ne cesse de l’embrasser. Il tente d'expier ainsi sa culpabilitĂ©, la transmettre peut-ĂȘtre. C’est qu’il profitait, un peu, d'avoir Mary contre lui, si proche. Contradictoire parce qu’il amorce un lĂ©ger mouvement de recul. N’étaient-ils pas censĂ©s en discuter ? Attends. Attends. Attendre quoi exactement. Arty est perdu, complĂštement. Elle le gifle pour l’embrasser ensuite. Qu’est-ce que tu fais ? Est-ce qu’il imaginait une rĂ©ponse, sĂ»rement pas. Il rĂȘvait. Alors il prĂ©fĂšre le dire, parce qu’il n’est pas sĂ»r de pouvoir continuer Ă  mentir. Tu sais que j’vais recommencer. J’peux pas t’promettre le contraire. D’un autre cĂŽtĂ©, ça n’arrivera peut-ĂȘtre plus. J’sais pas. Dis moi. » Quoi. Qu’est-ce qu’elle pourrait bien dire ou vouloir. Et lui. S’il pouvait succomber sans culpabilitĂ© est-ce que ce ne serait pas l’idĂ©al ? SĂ»rement. Puis il se demande vivement pourquoi exactement. Ses sentiments Ă©taient toujours lĂ  pour elle, aucun doute lĂ -dessus. D’ailleurs. Étaient-ils toujours ensemble. Alors. Il chasse l’interrogation et la rĂ©flexion d’un geste des mĂšches brunes. RĂ©flĂ©chir. Pourquoi faire. Puis cette question de lĂ  maintenant, ce qu'ils faisaient exactement. Il dĂ©glutit face Ă  la difficultĂ© de ne pas se ruer, fondre sur les lĂšvres de la Serdaigle. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Sam 25 Nov - 1249 Quelque chose se modifie ici et lĂ  quelque part mais elle ne sait pas trop oĂč, sĂ»rement la colĂšre qui s'entasse pour s'amuser, jouer avec les illusions qui passent et repassent alors que ses yeux sont fermĂ©s. LĂšvres toujours collĂ©es, ses mains ne font plus qu'effleurer la peau, trop tĂŽt pour lui infliger la douleur. Ce qu'elle comprend lui fait peur mais dans le dĂ©ni elle ne cherche pas bien loin. Cependant c'est tout proche que dans la chaleur du corps d'ArtĂ©mis elle trouve un j'en ai marre avec son ami c'est fini de subir, de souffrir alors qu'elle ne vit que pour Ă  nouveau sourire. Mary a bien conscience que ce n'est pas une bonne idĂ©e, se retrouver ici sur des genoux qui mĂ©ritent d'ĂȘtre coupĂ©s mais la raison semble s'ĂȘtre Ă©vaporĂ©e dans une note de musique qui clĂŽt une jolie histoire, peut-ĂȘtre que ce n'est qu'un Ă©niĂšme Ă©lĂ©ment perturbateur qu'elle espĂ©rait dĂ©clencheur de la rĂ©solution. S'enfonçant dans des ruelles sombres mal famĂ©es lĂ  voilĂ  surprise de constater que le soleil n'est plus prĂ©sent mais une lueur blanche inquiĂ©tante. La poupĂ©e est loin elle aussi. Suffit de cette constatation pour comprendre celui qui reste. L'Ă©quilibre rompu n'annonce rien de bien positif mais c'est plus facile alors elle touche la corde Ă©paisse plus gracile et mallĂ©able, une pelote de laine aux deux milles possibilitĂ©s. Il lui faut ĂȘtre attentive Ă  ne pas l'emmĂȘler, sinon ce sera encore la pagaille, un labyrinthe de corde dont il lui sera bien compliquĂ© de trouver le dĂ©tachement trop rapide laisse Ă©chapper un certain grognement. Impossible elle ne veut pas. Aucune raison de se plaindre pourtant, les lĂšvres continuent de s'effleurer alors que d'inutiles dĂ©solĂ©s s'approchent. Maintenant elle n'est plus plongĂ©e dans le noir, remarquant Ă©tonnement que les couleurs sont tout de mĂȘmes restĂ©es malgrĂ© la blessure infligĂ©e. Insatisfaite ça ne suffit pas. Envie qu'il souffre, qu'il sente la pointe d'un poignard s'enfoncer Ă  plusieurs reprises dans le ventre. Puis une fois soignĂ©e, recommencer. Histoire de sa propre vie. AprĂšs tout, il l'a cherchĂ©. Encore plus lorsque Ă  nouveau une distance est installĂ©e. Mine boudeuse chagrinĂ©e, c'est plutĂŽt clair qu'elle n'a aucune envie de discuter. Risque de s'Ă©nerver, avec toutes les petites consĂ©quences qui suivent. Ce qu'elle fait... Si simple. La rĂ©ponse est Ă©vidente. Il ne reste plus que le chat sauvage, les autres sont partis Ă  cause de toi. T'es un tueur de poupĂ©es et un pompier qui Ă©teint les soleils. Mais mon fĂ©lin n'a pas peur des chiens. Dans sa tĂȘte tout est logique. Simple et limpide, rien de plus Ă  expliquer. Regard dans le sien, Mary tente de le rendre froid sans grandes rĂ©ussites. Certainement une lueur d'incomprĂ©hension dans celui d'ArtĂ©mis mais ce sera Ă  l'autre narratrice de dit qu'il veut recommencer dans la tĂȘte ça bouge encore les paroles se transforment pour ne plus ĂȘtre ce qu'elles sont Ă  la base Ce n'est pas une bonne idĂ©e, il ne choisi pas les bons motsUn instant lĂ  voilĂ  relevĂ©e, loin de lui, murmure brisĂ© je reviens, tu bouges pasPour s'effacer dans les rayons de la bibliothĂšque, un peu de calme, dĂ©terminationPlus question d'ĂȘtre faiblesseUn chemin sinueux se trace dans les dĂ©combres d'un coin de son coeur qu'elle aperçoit Ă  prĂ©sent catacombes Ses mains s'enfoncent dans un creux, sortantes avec un ouvrage qu'elle ne sait pas utiliserCe n'est pas comme ça que finissent les contes de fĂ©esRetour vers le point de dĂ©part. Le livre en mains elle ne sait pas quoi en faire, encore une idĂ©e stupide alors qu'elle rĂȘvait de grandiose. Il encombre, elle le balance dans la direction du poufsouffle, poufsouffre ? Ce nouveau mot lui plaĂźt. Envie de l'entendre rouler contre sa langue qui claque poufsouffre. L'ouvrage ne tombe pas sur sa tĂȘte, dĂ©cidĂ©ment elle n'est pas dotĂ©e de prĂ©cision, tant pis. VoilĂ  paumĂ©e, Mary perdue, un mal de tĂȘte pratiquement prĂ©sent. D'un revers de la main les larmes sont effacĂ©es bien que remplacĂ©es par de nouvelles qui se veulent de plus en plus douloureuse. Le vide est de plus en plus intense. Oscillant entre la raison et la dĂ©raison elle choisi finalement la derniĂšre option ne voulant pas rompre si tĂŽt de nouvelles rĂ©solutions. Elle pourrait prendre une chaise et l'assommer, ce serait plus simple. Finalement elle s'assied Ă  nouveau sur les jambes de l'autre, avant de planter ses mains dans les joues si adorables de son tortionnaire. Bien dĂ©cidĂ©e Ă  inverser les rĂŽles. Cisailler de l'intĂ©rieur et de l'extĂ©rieur. Tu sais quoi ArtĂ©mis, je m'en fiche. C'est un mensonge elle le sait mais au final peu importe, envie de se donner l'impression d'ĂȘtre forte mĂȘme si l'autre n'y croit pas. Maintenant tu la fermes. LĂšvres pincĂ©es qui finissent par fondre Ă  nouveaux, embrassant son visage. Il ne le mĂ©rite pas, elle non plus. Si il s'est laissĂ© consumer par quelqu'un d'autre elle compte bien l'achever. La petite crise A assez durĂ©e. Se donner l'illusion que c'est lui qui est en prison et pas le pauvre petit oiseau qui jamais ne saura s' aura cicatrisĂ© alors que je n'aurais pas trouvĂ© un seul pansement Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Dim 26 Nov - 221 Il accueille les paroles de la Serdaigle la bouche lĂ©gĂšrement entrouverte. Il ne comprend rien. Une histoire de chats et de chiens, une vraie animalerie, il ne voit pas trĂšs bien ce que ça vient faire lĂ , alors imperceptiblement il hausse les Ă©paules. Il savait que Mary pouvait se montrer perchĂ©e, pas dans le mauvais sens du terme, mais c’est comme si la colĂšre devait dĂ©figurer ses pensĂ©es, c’était pas super joli Ă  voir. Mais il laisse passer, il ne lui demande rien. Aucune explication, parce qu’elle semble dĂ©jĂ  ĂȘtre passĂ©e Ă  autre chose. Il lui laisse le temps, aprĂšs tout, il fallait qu’elle digĂšre, qu’elle sache exactement quoi faire. Pendant qu’il attendait la sentence, tout Ă  fait prĂȘt Ă  assumer, presque. Elle lui ordonne brusquement de ne pas bouger, et il obĂ©it. C’est rare. Peu sont ceux dont il accepte les ordres, mais ce soir, il pouvait peut-ĂȘtre faire une exception, le temps qu’elle s’adapte, qu’elle avise de la suite. Et tandis qu’elle s’éloigne il reste lĂ . Les bras ballants il s’intĂ©resse Ă  une petite Ă©charde de bois qui dĂ©passe, il n’a aucune idĂ©e de ce qu’est en train de traficoter la Serdaigle, peut-ĂȘtre est-elle partie. Il relĂšve la tĂȘte, le temps de voir un livre voler. On passait aux choses sĂ©rieuses. HĂ© » VoilĂ  qu’elle l’attaquait avec les livres, le pire c’est qu’elle avait Ă  ses cĂŽtĂ©s une ribambelle de munitions. Peut-ĂȘtre devrait-il commencer Ă  s’inquiĂ©ter, juste un peu. Il s’attarde un moment sur son visage, il en Ă©tait tout Ă  fait responsable. Ça le chiffonne de la rendre ainsi, petite pique dans la poitrine. Mais de nouveau, un vĂ©ritable accordĂ©on, la voici de nouveau sur lui, sur ses genoux. Ça ne faisait que le perdre davantage, petit cƓur sautillant dans un ascenseur Ă©motionnel pas vraiment agrĂ©able. Mais encore une fois, il l’avait cherchĂ©. Ses mains contre ses joues, ça l’électrise, il se demande ce qu’elle allait bien trouver comme menace cette fois. Devait-il paniquer ? Pas tellement. Elle s’en fiche, dit-elle. Elle ne pouvait pas trouver pire. Pourquoi rĂ©agissait-elle ainsi dans ce cas ? Il aurait fallu l’annoncer dĂšs le dĂ©but s’il pouvait aller voleter ailleurs, il n’aurait pas culpabilisĂ© autant lors de l’adoltĂšre – nĂ©ologisme. Ils auraient dĂ» Ă©tablir quelques rĂšgles, quelque chose comme un contrat stipulant les droits de l’un et de l’autre. Maintenant il doit se taire. Il avait Ă©tĂ© trop obĂ©issant. D’accord il avait fait une connerie, peut-ĂȘtre, parce que finalement ça n’avait pas tant l’air de la toucher tant que ça, d’apparence. Mais il n’allait pas se laisser malmener ainsi. Puis demander Ă  Arty de la fermer, c’est comme demander Ă  un caribou de faire du roller. Ça ne marche pas bien, littĂ©ralement. Il Ă©loigne les mains de Mary de son visage, c’est compliquĂ©, de la repousser ainsi. Lui-mĂȘme n’en revient pas. Mais c’est que ça le l’offense. Elle s’en fichait. Ses mots continuaient de rĂ©sonner dans son cerveau retournĂ© par le comportement de la Serdaigle. Des explications. Il en avait donnĂ©, Ă  peu prĂšs, il mĂ©ritait une discussion, aussi petite soit-elle. Du moins c’est ce qu’il pensait. Alors forcĂ©ment, une lueur insolente dans ses yeux, il les plonge dans les siens. Tu t’en fiches ? Fallait le dire plus tĂŽt, tu m’aurais Ă©vitĂ© pas mal de monologues intĂ©rieurs. Il ricane. Peut-ĂȘtre la provoque-t-il volontairement, sĂ»rement. Et m’appelle pas comme ça. C’est Arty. » Parce que c’est important de relever Ă  chaque fois qu’il entendait son prĂ©nom entiĂšrement. Parce que ça lui met une vision de sa mĂšre dans les rĂ©tines et que ce n’était clairement pas le moment. Pourtant, le Blaireautin est incapable d’envoyer vraiment paĂźtre la Serdaigle. Il la garde lĂ , toujours en face de lui. Il se risque Ă  lui caresser la joue. Il ne sait plus oĂč ils en Ă©taient, il continue de l’embrasser, soudainement. Lui aussi tiraillĂ© certainement, entre son Ă©go froissĂ©. Puis ses lĂšvres lĂ , toujours, et dont il n’arrive pas Ă  se dĂ©tacher. Parce qu’il a du mal Ă  accepter, qu’elle puisse s’en fiche. Elle devait ĂȘtre touchĂ©e, l’implorer pour qu’il ne recommence plus, le forcer Ă  ĂȘtre avec elle. Mais non. Pourtant, elle Ă©tait toujours lĂ , elle n’était pas partie, n’avait pas claquĂ© la porte en l’insultant de tous les noms. Elle demeurait, Ă  savoir pourquoi. Elle ne savait pas elle-mĂȘme en fait, ça se voyait, la claque puis le bouquin rageur, il n’avait pas saisi, maintenant oui. Elle ne cessait d’osciller, clairement, entre l’éloignement et la il Ă©tend les bras, perpendiculaire Ă  son corps, complĂštement offert, il se surprend lui-mĂȘme. Tu sais quoi, c’est ton moment. J’ai Ă©tĂ© clair, honnĂȘte, enfin, plus ou moins. Maintenant tu fais c’que tu veux. Mais va falloir choisir. Soit tu m’balances tous les livres de cette maudite bibliothĂšque Ă  la figure. Ou. » Il ne termine pas sa phrase, il sourit un peu et mĂȘle une derniĂšre fois ses lĂšvres aux siennes. Comme un point d’orgue. Il sait sa proposition dangereuse, mais dans l'atmosphĂšre pesante, l'espiĂšglerie et le jeu continuaient de percer, petit Ă  petit. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Dim 26 Nov - 2159 Elle veut juste profiter et oublier mais encore une fois il ne veut pas. C'est lui le fautif, elle ne comprend pas d'oĂč il peut se le permettre. Un soupire exagĂ©rĂ© s'Ă©lance, se mĂȘlant Ă  la danse de la provocation qu'elle tente d'apprendre. De nouveaux pas avec lesquels mĂȘme le fĂ©lin a un peu de mal. Être happĂ© dans ce jeu insolite n'en vaut sans doutes pas la peine, prĂ©fĂ©rer la haine pure sans rapprochement serait plus saint, moins envoĂ»tant. Mary y pose tout de mĂȘme plus d'un orteil juste pour essayer. Les saveurs innovantes qu'elle goĂ»te ne lui sont pas si dĂ©sagrĂ©able que ça alors pourquoi se priver d'autant plus que lui ne s'est pas privĂ© lorsque la/les se sont prĂ©sentĂ©. Elle ne saura sans doutes jamais mais plus envie d'ĂȘtre la seule Ă  ne pas profiter ou mĂȘme comprendre les raisons de ces horreurs dĂ©chaĂźnĂ©es qui l'ont poussĂ© Ă  la tromper. Le mot n'est pas trĂšs joli d'ailleurs, rĂ©flexion faite il faudrait en trouver un nouveau. Deux trois secondes, le temps de trouver. EmbrunisĂ©es. Aucun rapport mais plus poĂ©tique. Du coup, vu qu'il s'est permis de l'embrunisĂ©e, elle voudrait voir et tenter aussi de faire mal de cette maniĂšre lĂ  histoire de laisser la douleur physiques aux personnes comme la vipĂšre. Si jamais elle n'y arrive pas eh bien tant pis elle finira comme elle et ce sera la faute de celui qui l'avait il y a si peu de temps paroles n'arrangent pas l'histoire. Est-il dĂ©bile ? Depuis quand doit-on se fier Ă  ce que quelqu'un montre dans le premier plan comme si il n'y en existait pas d'autre ? Il fait quoi des trois milles facettes qui s'Ă©parpillent dans son cerveau. Elle est comme ça parce qu'elle a mal. Comme prĂ©vu les rĂŽles s'inversent. Mary voulait mener pour une fois, ĂȘtre celle qui fait souffrir mais il suffit d'une rĂ©plique du camps adverse pour que ce visage presque dĂ©tachĂ© devienne totalement dĂ©truit. Tentative de se reprendre avec ce masque froid, peut-ĂȘtre mĂȘme pas forcĂ© vu la remarque inutile sur le prĂ©nom. T'es un enfo*rĂ© d'avoir fait ça. Comme une Ă©vidence qui tombe. Un sceau d'eau froide, glaciale tombe sur la bulle de barbe Ă  papa qui n'est plus que sucre plaquant et perd son aspect doucereux. J'suis loin de m'en foutre. Je te faisais confiance m*rde. Une main rageuse part dans ses cheveux emmĂȘlĂ©s pour Ă©carter les mĂšches qui tombent sur son nez. Je m'arrange pour pas trop avoir mal, c'pas la premiĂšre claque que je me tape, j'finis par savoir comment mordre mes joues pour ne pas sentir la douleur Ă  son point d'origine, Arty. Elle insiste sur les syllabes de la fin, montrer un peu de dĂ©termination avant d'essuyer vite fait les derniĂšres larmes qui tentent de s'Ă©chapper. J'ai dĂ©cidĂ© d'ĂȘtre chat. RĂ©pĂ©tĂ© en boucle il finira par devenir rĂ©alitĂ©. Du moins elle l'espĂšre, pas envie de retourner dans les tentacules de Folie. C'pas le couleurs commencent Ă  se ternir autour d'eux mais une simple caresse sur sa joue leur redonne un peu de teintes qui sont agrĂ©ables Ă  regarder. Pas besoin de plus. Son coeur semble renaĂźtre lorsque enfin elle retrouve les lĂšvres de ce drĂŽle de tortionnaire. Enfin on ne peut pas dire qu'il est comique. Elle imagine que ce n'est qu'un caprice, mais sans jugements Ă©tant donnĂ© que dans cette situation tout sauf idyllique elle ne vaut pas mieux. Simplement profiter. C'est un peu une note de fin, comme si la corde du violoncelle se rompait. Rip. Les derniers accords sont pourtant agrĂ©ables. On est triste que ce soit le dernier acte de la piĂšce mais les comĂ©diens sont toujours aussi plaisants Ă  s'Ă©tend un peu. Difficile de se contenir pour ne pas encore fondre sur lui. Un aimant. DerniĂšres paroles prononcĂ©es un peu Ă  l'arrache. Nouveau frisson. Ses yeux le regarde d'une façon nouvelle. L’attirance a quelque peu changĂ©. Ce n'est plus les mĂȘmes raisons qui la poussent Ă  l'embrasser pour rendre les parcelles de sa peau brasier. L'Ă©tĂ© s'est transformĂ© en hiver, une saison tout aussi agrĂ©able mais d'une façon diffĂ©rente. Le choix est simple. Les gens honnĂȘtes ils embrunisent pas ceux qu'ils sont sensĂ©s aimĂ©s. Mais j'sais pas prendre de dĂ©cision tu vois... Sans doutes est-ce l'adrĂ©naline, mais sa robe de sorciĂšre finit par atterrir Ă  ses pieds. Fixant son ventre beaucoup trop maigre et effrayant, Mary se rend compte que c'est peut-ĂȘtre, nan c'est une erreur il va avoir jamais vouloir. Mais j'pense que tu vas te casser, j'suis sans doutes un peu trop nulle par rapport Ă  celui, celle, ceux, peu m'importe, mais Ă  qui tu m'as prĂ©fĂ©rĂ©.. Elle tremble intĂ©rieurement, frĂȘle coquille qui ne sait plus mais qui ne bouge pas pour autant. Face Ă  lui elle se rend compte qu'elle est faible. C'est pas ça qui la rend moins amoureuse. Faudra le temps. Le choix qu'elle a fait n'est pas si compliquĂ© Ă  comprendre ses gestes le montrent mais elle n'est pas sĂ»re que lui le veuille. Peut-ĂȘtre un dernier espoir avant qu'une page se tourne. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Mar 28 Nov - 2329 Un enfoirĂ©. Ouais. C’est-Ă -dire que de lui-mĂȘme il n’aurait pas pu trouver mieux. Joliment dit. Comme si finalement il demandait confirmation de son erreur, de son comportement de bougre. Il avait besoin de cette pique, il attendait peut-ĂȘtre que ça rĂ©veille chez lui autre chose que la culpabilitĂ©, puisqu’elle seule n’était pas suffisante pour le retenir. Besoin d’entendre de sa bouche exactement ce que ça lui faisait, pour que cesse de n’ĂȘtre qu’une illusion, un petit nuage Ă©lectrique qui virevoltait au-dessus de sa tĂȘte. Ajouter de la tangibilitĂ© Ă  la douleur qu’il affligeait. Le fait qu’il soit celui qui ait rajoutĂ© Ă  son abĂźme de douleur. Ainsi, certes, les larmes et ses mots piquants le touchent, il ne peut pas dire le contraire. Mais tout de mĂȘme. Ne devrait-il pas se sentir encore plus mal que ça ? Parce qu’elle avait raison, il l’avait trahie, complĂštement, sciemment. Et pourtant. Ça le frappe d’un coup, sur le coin de la mĂąchoire, tellement qu’il grimace. Il se rend compte. Il n’avait pas Ă©tĂ© celui qu’il fallait Ă  Mary. Il lui avait promis de la lumiĂšre, des Ă©tincelles et autre. Puis rien, il avait tout fait flamber d’un coup. Pourquoi au juste ? Des pĂ©tillements dans le bas-ventre. SĂ©rieusement. Il aurait pu faire mieux. Il y avait tout de mĂȘme un bon point Ă  tout cela. Elle l’avait appelĂ© Arty de nouveau, ce n’était pas nĂ©gligeable. Comme quoi, tout n’était pas perdu. Loin de lĂ . La preuve en est dans son regard, juste lĂ , ça s’est renversĂ©. Il y avait autre chose. Elle dit ne pas savoir prendre de dĂ©cision, pourtant, le tableau qui se dessine devant ses yeux lui paraĂźt ĂȘtre une dĂ©cision assez marquĂ©e, peu subtile. Il fait tout ce qu’il peut pour se mordre l’intĂ©rieur de la joue. Et lui ce n’est pas pour ne pas sentir la douleur. C’est pour calmer l’appĂ©tit grandissant, d’un coup. Il interprĂšte les derniĂšres paroles de la Serdaigle comme une lĂ©gĂšre provocation. Elle disait n’importe quoi. RĂ©veiller quelque chose en lui, sans doute, se dit-il. Il ne pouvait pas partir ainsi, ne pas la laisser lĂ , comme ça. Tout de mĂȘme. Il la fixe, dents serrĂ©es, toujours. Avait-il vraiment prĂ©fĂ©rĂ© ces autres dont elle parle ? Sur le moment, peut-ĂȘtre. Mais elle Ă©tait toujours privilĂ©giĂ©e, quelque part dans sa poitrine Ă  lui, il ne la considĂ©rait pas comme les autres. Et lĂ , davantage. Toutefois il hĂ©site, lĂ  sur sa chaise, le temps de cligner plusieurs fois des yeux. Voir s’il ne rĂȘvait pas. Si elle Ă©tait bien lĂ , carrĂ©ment vulnĂ©rable devant lui. Un peu trop nulle avait-elle dit. Il n’en revient pas. C’était peut-ĂȘtre son rĂŽle aussi, encore, pour le moment. D’ĂȘtre lĂ  et de lui redonner confiance. C’est l’excuse qu’il se trouve, parce que dĂ©sormais, il n’a pas du tout envie de partir. Alors guidĂ© par ses artĂšres bouillonnantes, sensation qui malheureusement ne lui est pas tout Ă  fait Ă©trangĂšre, il se lĂšve pour se rapprocher dangereusement de Mary. Les doigts affairĂ©s Ă  dĂ©boutonner sa chemise tandis que son front vient se poser contre celui de la brune, nez Ă  nez. T’es pas nulle. C’est moi qui ai m*rdĂ©, c’tout. » Ça donne une petite impression de regret, Ă  peine. De nouveau essayer de rencontrer les rĂ©tines de l’autre, Ă  quelques millimĂštres maintenant. Le tout vrombit Ă  l’intĂ©rieur. D’un coup, il a l’impression d’ĂȘtre transportĂ©, loin d’ici, de la bibliothĂšque mais aussi et surtout des derniĂšres rĂ©vĂ©lations. Il y pense briĂšvement, en sachant que ça allait aboutir sur quelque chose comme ça, il aurait peut-ĂȘtre du tout dĂ©voiler il y a longtemps. Évidemment que l’idĂ©e un peu noire lui passe par la tĂȘte. Celle-lĂ  mĂȘme qui lui dit d’une voix chuchotĂ©e que ce n’était pas une bonne chose, clairement, que ce n’était pas le moment opportun. Qu’il profitait d’elle, un peu, de sa fragilitĂ©. Mais Mary Ă©tait une grande fille, plus que lui d’ailleurs. DĂ©licatement, il la pousse alors contre la table, juste lĂ , Ă  cĂŽtĂ© d’eux. Il avait de sĂ©rieux efforts Ă  faire au niveau de la frustration et de la tentation. Mais as usual, il s’en prĂ©occuperait plus tard. Ses doigts se hasardent chaleureusement sur la peau de la Serdaigle, sur ce ventre qu’elle n’osait pas tellement exposer. J’partirai pas. » Comme si ce n’était pas suffisamment clair, qu’il avait besoin de prĂ©ciser ce point-lĂ  exactement. Je pense que quelque part il aurait bien aimĂ©, ĂȘtre plus courageux que ça. Lui dire non, ce n’est pas possible, pas maintenant, qu’ils n’étaient pas en Ă©tat. Tourner le dos et on se voit plus tard. Mais trop entier Ă  ses impulsions, il joint ses lĂšvres Ă  celles de Mary. Puis il descend mĂ©ticuleusement, souligner les traits de la mĂąchoire, du cou, de la clavicule, saillante, tandis qu’il presse le reste de son corps contre elle. Peut-ĂȘtre qu’elle se rĂ©veillerait, le repousserait. Finalement, qui sait. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Jeu 7 DĂ©c - 2120 Musique ouais ça faisait longtempsNe sachant pas quoi faire je me contente de fixer. De regarder les boutons se dĂ©tacher, sa chemise disparaĂźtre pour laisser le reste se montrer. Douleur lancinante qui choie des deux cĂŽtĂ©s de la balance. Jalousie d'une part, qui me murmure que je ne suis pas la premiĂšre qui aura la chance de goĂ»ter Ă  ces morceaux de peau dĂ©nudĂ© puis de l'autre celle, plus agrĂ©able, de l'attente et de la tentation. Tous ses gestes sont Ă©piĂ©s, une caresse dans le regard dĂ©plaçant l'animositĂ© toujours prĂ©sente, dans un coin quelque part, juste pour l'instant et admirer tenter deux secondes de profiter pour laisser toute la place Ă  Monsieur DĂ©ni le Husky et juste sentir les effluves du moment m’enivrer dans un tourbillon Ă©lectrique, les premiĂšres notes Ă  peine jouĂ©e le spectacle devient addictif. Peur de devenir cette ex flippante qui ne voudra plus le quitter, qui suivra, finira pas faire une bĂȘtise, pour ne pas trop se dĂ©truire mais d'un autre cĂŽtĂ© je ne veux pas le voir perdre toutes les lueurs que j'ai dĂ©jĂ  pu apercevoir dans ses yeux. L'air de rien il vit et mĂȘme si la maniĂšre n'y est pas toujours. Les idĂ©es fuient et j'en viens presque Ă  penser qu'au final ce n'est pas si grave d'ĂȘtre trompĂ©e. Habitude de dire que tout est Ă©phĂ©mĂšre alors pourquoi pas lui ? Les ondes de chaleur reviennent Ă  la charge, j'suis pas nulle mais c'est un mensonge, un parmi d'autre que je finis par accepter comme un cadeau qu'il offre pour tenter de rĂ©conforter. Au final c'est sans doutes ça et les graphiques montent et descendent dans un coeur qui ne sait plus quoi penser, maximums, minimums, j'pense qu'on ne peut pas aller plus haut ou plus bas mais finalement il n'y a pas que les limites de l'Ă©criture qui sont sans cesses repoussĂ©es. Elles peuvent toutes l'ĂȘtre, et c'est ça qui est considĂ©rĂ© comme marrant dans le jeu que la vie propose, juste des dĂ©fis de plus en plus dangereux de plus en plus tentants qui finissent eux aussi par devenir des inĂ©vitables tant ils engouent, tant ils donnent envie de prouver, Ă  soi et aux autres que nous, on peut y arriver. Les ravages qu'ils laissent sur leurs passages sont insignifiances alors qu'ils mĂ©riteraient une si grande importance...DĂ©viĂ©e, contre la table que je sens sous mon dos sans comprendre il est au-dessus et Ă  nouveau les yeux s'Ă©garent, les mains aussi. Puis un dĂ©solĂ© qui passe par une oreille pour sortir par l'autre parce que ce qui est fait est fait et mĂȘme si je n'ai pas envie de passer l'Ă©ponge pour le moment c'est sans importances. Partir Ă  la dĂ©couverte ce n'est pas si mal non plus, frĂŽler du bout des doigts son dos, dĂ©vier vers des inconnues. Les corps rapprochĂ©s qui se mĂȘlent, je l'ai finalement ma danse, quand ses lĂšvres Ă©chappent Ă  son propre contrĂŽle et que dans un dernier effort je tente de chuchoter que finalement t'as rĂ©ussi Ă  les faire rester puis me relĂšve d'un coup pour attraper sa main, s'Ă©loigner de cette table un peu trop exposĂ©e - on sait jamais quelqu'un peut Ă  tout moment entrer - et dĂ©lirer, dĂ©livrer, dĂ©lier. Puis dans un coin plus confortable Ă  nouveau s'emmĂȘler se croiser ne plus trop savoir pour finalement m'abandonner entiĂšrement, les gestes sont plus fort, les caresses plus douce, dĂ©passant le stade du regard et les lĂšvres qui ne se posent plus que sur ses semblables mais dĂ©vient. Un moment choyer Un moment d'abandonUn moment sans regrets Un soupçon de dĂ©liceUn Ă©tincelle de malicePuis des odeurs de rĂ©glisseEt une petite ellipse paske j'suis innocente et que j'veux pas savoir ce qu'il se passe lĂ  exactement Un rayon de bonheurLes pĂ©tale tombent de la fleurUn peuBeaucoupPassionnĂ©ment À la folieSans se soucier du pas du toutJuste un sourire et quelques larmesSans remordsJuste un Ă©lan de gratitude qui s'Ă©vade alors que fixant le plafond le sourire ne quittant pas je fixe en coin et je comprends que Ă©trangement ça n'a fait que Ă©viter le pire, t'm'as sauvĂ©e du chat Arty, pas de remerciement pourtant pour ne pas qu'il se croit trop fort, mĂȘme si c'est sans doutes la derniĂšre Ă©treinte alors j'me lĂšve et cherche cette fameuse robe tombĂ©e puis la reporte, remise Ă  sa place et retourne prĂšs d'Arty et non Artemis il aime pas mais c'est vrai que c'est plus joli puis au final il donnait bien quand on le faisait rimer avec Mary. Du passĂ© parce qu'il n'y a plus cet ensemble qu'ils sont sensĂ© formĂ©. Je dĂ©pose un dernier baiser sur ses lĂšvres aussi frivole puis termine par un simple adieu, plus de merci d'exister il ne les mĂ©rite pas, juste un c'est gentil d'avoir Ă©tĂ© lĂ  pour finalement fuir dans une tornade d'Ă©motions qui ne sont plus contradictoires. Au final ces petites choses lĂ  ça s'emporte pour finalement se calmer en criant que la tempĂȘte et momentanĂ©ment du rp pour moi, merci Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Sam 16 DĂ©c - 2015 Pas le temps d’ĂȘtre surpris. Elle vient de dire oui, avec ses baisers, ses mains, une sorte d’assentiment qui fait pulser son sang Ă  l’intĂ©rieur. Il ne rĂ©flĂ©chit mĂȘme plus, au fait que non ça ne se fait pas, ce serait la briser. Mais il se donne trop d’importance, et l’étreinte semble ĂȘtre le meilleur moyen pour oublier qu’il s’était comportĂ© comme un enfoirĂ©. Qu’il en avait marre d’ĂȘtre ainsi rongĂ© par la culpabilitĂ©, alors profiter et surtout, donner Ă  Mary, lĂ , Ă  ce moment prĂ©cis, exactement tout ce qu’elle voulait. Qu’est-ce qu’il Ă©tait gĂ©nĂ©reux tout de mĂȘme. Il ne comprend pas forcĂ©ment ce qu’elle dit, mais il la suit, plus loin, en retrait dans la bibliothĂšque. La symbolique le frappe de nouveau Ă  la figure tandis qu’il sent Mary sous ses doigts, ses baisers. Totalement guidĂ© par la fureur des plaisirs, il en oublie mĂȘme que pour une fois, l’acte Ă©tait le bienvenu, pas de cachoteries, il Ă©tait autorisĂ© Ă  l’embrasser de cette façon. Parce qu’à cet instant elle Ă©tait encore sa petite amie. Mais en rĂ©alitĂ© ça ne change absolument rien, il a cette facultĂ© de foutre son cerveau en pause, surtout dans un tel moment. Pourtant, c’est tout de mĂȘme avec plus de passion et de dĂ©termination qu’il l’embrasse, et qu’ils se pour l’innocence de Mary C’est toujours le moment de l’aprĂšs qui pique un peu. Il ne sait pas pourquoi jusqu’à ce qu’il la voie se relever, s’éloigner, s’habiller. Aucune bribe d’un Ă©tat quelque peu languissant des minutes prĂ©cĂ©dentes. Elle ne reste pas, elle n’en a pas l’intention. Il se redresse aussi, le regard interrogateur. C’est qu’il a le culot de se demander pourquoi. Pourquoi elle rĂ©agissait ainsi, pourquoi elle ne voulait pas ĂȘtre Ă  ses cĂŽtĂ©s, maintenant. Alors qu’il comprend trĂšs bien, qu’elle ne peut pas. Pourtant son Ă©goĂŻsme Ă©touffant lui donne envie de crier tu fais quoi lĂ  tu vas oĂč reste un peu. Mais les derniĂšres paroles de la Serdaigle marquent une lacĂ©ration dans le muscle pompeur. C’est qu’elle l’embrasse en plus, une derniĂšre fois. Un adieu qui claque dans le silence procurĂ© par les livres. Et sa derniĂšre phrase, l’adjectif, gentil. Ça le ravage tandis qu’il la voit s’éloigner. Le temps que ça fasse son petit chemin Ă©lectrique dans les neurones en effusion. Elle venait de rompre. AprĂšs qu’il lui ait avouĂ©, aprĂšs qu’ils aient Ă©tĂ© si proches. Il a comme l’impression que la sĂ©paration n’arrive pas au bon moment, que ça aurait dĂ» ĂȘtre avant. Avant ça. Il dĂ©glutit, cligne des yeux, secoue la tĂȘte, passe sa main dans ses cheveux, tout ce qu’il faut pour reprendre conscience de la rĂ©alitĂ©. Se relĂšve. Il demeure lĂ  quelques instants, perdu. Le temps passĂ© avec Mary avait Ă©tĂ© bien trop furtif, une lumiĂšre brĂšve, le temps de se tromper d’interrupteur, ou de remarquer qu’en fait il y avait quelqu’un dans la piĂšce. Éteinte dĂ©sormais. Mais bon, il l’avait entiĂšrement mĂ©ritĂ©. Il n’était pas si inconscient pour ne pas le remarquer, pour ne pas le savoir. S’il avait voulu garder Mary, il n’aurait pas fait tout ça. Tout de mĂȘme, d’un geste rageur il frappe la plus proche Ă©tagĂšre. Parce que ça lui fait mal, ça le dĂ©vore, il aurait bien aimĂ© rester encore un peu dans leur bulle Ă  eux, qu’il avait pourtant de lui-mĂȘme Ă©clatĂ©e. Quelque chose d’amer lui reste lĂ , coincĂ© dans le fond de la gorge. Parce qu’il n’y avait pas eu d’explosions de voix, d’objets qui volent et de remontrances. Juste un c’est gentil d’avoir Ă©tĂ© lĂ . Et ça faisait d’autant plus mal. Mais il allait devoir passer cette porte, revenir au quotidien, laisser ce qu’ils avaient Ă©tĂ© ici, dans cette bibliothĂšque. DĂ©cidĂ©ment, dĂ©jĂ  qu’il n’y mettait pas souvent les pieds, dĂ©sormais plus jamais. Il a l’impression d’ĂȘtre saoul tandis qu’il se rhabille, de peser lourd. Et il doit avancer, alors c’est ce qu’il fait. Quitter les lieux. C'Ă©tait sĂ»rement pas plus mal, fermer la porte Ă  tout ça. Puis finalement, c’est peut-ĂȘtre un soupir de soulagement qui s’échappe au moment de rejoindre le pour moi aussi, merci ! LorelaĂŻ PeonyDirectionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueLorelaĂŻ Peony, le Mar 6 FĂ©v - 1739 [LA de PrĂ©puce]Exorcisme de nuitPV avec NonocNuit d'hiver glacial. Le Parc du chĂąteau est silencieux. Un silence... blondinette masquĂ©e, tout de noir vĂȘtue, traverse l'Ă©tendu sombre, Ă©clairĂ© par la Lune le bras, un grimoire achetĂ© au MarchĂ© Noir, ou presque, dans une boutique dont le simple nom rĂ©veille les morts... Chez Barjow & Beurk !Cette nuit, toutes les conditions sont rĂ©unies, il ne reste plus qu'Ă  retrouver la victime, cachĂ©e en haut de sa blonde monte les marches sur la pointe des pieds et arrive, quelque peu essoufflĂ©e, dans la voliĂšre. Peu d'oiseaux y sont encore prĂ©sents, l'appel de la chasse cherche, du bout de sa baguette allumĂ©e, l'oiseau maudit. Il n'est pas encore lĂ , elle devra blonde s'installe alors dans un coin pas trop sali et ferme les yeux. La tĂȘte entre les jambes, elle se souvient de ce beau jour d’autonome oĂč elle l'avait rencontrĂ©, ici se souvient surtout de ses yeux, perçants, enivrants. Comme elle l'avait aimĂ©. Son souvenir s'Ă©tait doucement effacĂ©s de sa mĂ©moire, ses sentiments restaient pourtant ancrĂ©s dans son cƓur. La LorelaĂŻ d'hier aimerait toujours l'Edward qui avait tant fait battre son larme coule le long de sa joue, un sourire nĂ©anmoins apparait sur ses lĂšvres. Un hibou, Ă  peine plus grand que trois pommes, la titille de son bec. Caressant d'abord sa petit tĂȘte, elle sort ensuite un sac et enfourne le hibou dedans, sans se poser plus de questions que nĂ©cessaire. Il faut sauver l'animal, coĂ»te que Allez hop PrĂ©puce !A pas de souris, elle redescend la tour, traverse le chĂąteau et se dirige vers la cale le sac contre une chaise et sort son Exorcisme, exorcisme... Chut PrĂ©puce ou je te lance un bloclangue ! GuĂ©thenoc UrsionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGuĂ©thenoc Ursion, le Mer 7 FĂ©v - 1953 A la faveur de l'obscuritĂ©, une ombre chargĂ©e d'un paquetage glissait, silencieuse et impalpable. Est-ce un esprit farceur en chemin pour importuner de ces facĂ©ties ? Est-ce le Spectre de la Mort venu rĂ©clamer son dĂ»?Fils ! Non ! Je vous interdit d'y aller !*...*Non, il s'agit simplement de GuĂ©thenoc, le fringant et modeste apprenti chevalier. Pour l'occasion et n'ayant pas d'autres tenues pour se faufiler parmi les tĂ©nĂšbres, il avait enfilĂ© une robe de bure noire. Elle lui avait Ă©tĂ© offerte par une de ses tantes lors de la NoĂ«l. MalgrĂ© qu'elle soit moldue, elle Ă©tait dans la confidence de son statut mais elle avait due confondre AcadĂ©mie de Sorcellerie » et Abbaye de Moineries ». Elle avait toutefois eu le nez fin. La robe le grattait. Cet inconfort Ă©tait contrebalancĂ© par l'excitation qu'il ressentait. Par cette excursion, l'Aiglon violait tout Ă  fait consciemment l'article 3 du RĂšglement de Poudlard. Une graine de rebelle, so unamused ! Et puis, il ne vaquait » pas, un Ursion ne vagabonde jamais, il est toujours en QuĂȘte ! Il saurait donc se justifier si jamais il rencontrait un prĂ©fet ou un professeur ! Allez, Articles 6 et 12, aux oubliettes ! Un vrai trublion celui-ci...Il jeta un regard Ă  la ronde. Pas Ăąme qui vive, si ce n'Ă©tait la trace d'un passage l’entrebĂąillement de la porte de la bibliothĂšque. Anormal, au regard de l'heure tardive. Oubli de la part du personnel ou signe d'une prĂ©sence inopportune? Une pointe d'inquiĂ©tude perça sa carapace d'assurance. Il Ă©tait manifeste que quelqu'un l'avait prĂ©cĂ©dĂ©. Son plan allait tomber Ă  l'eau. Si seulement il perdait cette fĂącheuse habitude de trop ouvrir sa grande bouche... Il espĂ©rait qu'il n'avait pas Ă©tĂ© devancĂ©, il glissa un Ɠil par l'ouverture et constata qu'en effet, une personne semblait s'affairer au sol, absorbĂ©e par il ne savait quel machination tordue. La lumiĂšre Ă©tait tĂ©nue mais il parvint Ă  reconnaĂźtre cette silhouette. Il fut soulagĂ© quoique perplexe. LorelaĂŻ... Il entra dans la bibliothĂšque, prenant soin de fermer la porte. Il s'approcha d'elle, Ă©mettant un lĂ©ger toussotement pour manifester son Salut Loly ! », une pointe d'agacement dans la voix.*Mil' Gast ! Qu'est-ce qu'elle fiche ici?* Il l'avait surnommĂ© ainsi tout haut. Habituellement, il le faisait en son for intĂ©rieur. Toujours suivi par un air en tĂȘte, celui d'un dessin animĂ© de son enfance, oĂč il remplaçait les mots la vie » par Loly »... Trahi par ses propres pensĂ©es, mais pour l'heure, c'Ă©tait plutĂŽt un crissement de couteau glissant sur un tableau noir qui rĂ©sonnait en lui. LorelaĂŻ PeonyDirectionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueLorelaĂŻ Peony, le Lun 12 FĂ©v - 1643 Trop occupĂ©e Ă  chercher le chapitre sur l'exorcisme, LorelaĂŻ ne vit pas arriver une petite tĂȘte bouclĂ©e derriĂšre son raclement de gorge, elle sursauta, posant sa main sur sa bouche, au risque de signaler sa prĂ©sence par un cri aussi effroyable que la peur qu'elle venait d'avoir. Si quelqu'un la trouvait assise au milieu de la bibliothĂšque, un livre presque noir entre les mains et un hibou enfournĂ© dans un sac, elle Ă©tait trĂšs mal partie pour se justifier. TrĂšs, trĂšs mal pourquoi, quand elle se rendit compte qu'il ne s'agissait que d'un petit bleu, qui en plus ne semblait pas dangereux, elle se ressaisit et s'approcha de lui, Ă  pas de Qu'est-ce que tu fais ici Nonoc ? demanda-t-elle Ă  voix basse. Tu devrais ĂȘtre dans ton dortoir Ă  cette heure-ci. Et si on t'attrapait !Oui, parce que LorelaĂŻ se croyait bien placĂ©e pour faire la moral au jeune homme sur ce qu'il avait le droit ou non de faire. Elle n'Ă©tait pas prĂ©fĂšte, mais elle ne voulait pas qu'il ait des problĂšmes. Elle, si elle Ă©tait sortit, si elle avait enfreint le rĂ©glement, c'Ă©tait pour une question de vie ou de mort. Elle n'avait pas le choix. Bon, certains pourraient arguer que ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois qu'elle sortait aprĂšs le couvre-feu, et demander, Ă  juste titre, si Ă  chaque sorti il Ă©tait question d'y perdre la vie. Mais passons, Ă  cet instant, elle Ă©tait convaincue de sa lĂ©gitimitĂ© Ă  ĂȘtre prĂ©sente au milieu de la bibliothĂšque, et pas le petit cri de dĂ©tresse s'Ă©leva du sac derriĂšre les deux Serdaigle et LorelaĂŻ regarda son camarade avec un air sĂ©vĂšre qu'elle n'avait pas l'habitude de Ecoute GuĂ©.. GuĂ©tho... Ecoute Nonoc ! J'ai des affaires sĂ©rieuses en jeu, dit-elle en chuchotant, mais sur un ton ferme. Tu peux pas rester fallait vraiment qu'il s'en aille et qu'il la laisse tranquille, parce qu'elle n'avait pas beaucoup de temps pour exorciser le hibou. GuĂ©thenoc UrsionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGuĂ©thenoc Ursion, le Lun 12 FĂ©v - 2121 Au Moyen-Age Moldu, les chevaliers et autres seigneurs fĂ©odaux, de part l'appui de la Loi salique et du fait du Dogme de l’Église, avaient prĂ©sĂ©ance sur l'Indigne CrĂ©ature qu'Ă©tait la femme. S'ensuivait tout un ensemble de RĂšgles, d'Us et de Coutumes, le Droit de Cuissage n'en Ă©tait qu'un piĂštre exemple. Certes, GuĂ©thenoc n'avait pas Ă©tĂ© Ă©levĂ© selon ses canons et principes douteux mais il tentait vaille que vaille de respecter un semblant de Code d'Honneur. VoilĂ  pourquoi il pensa donc Un digne chevalier ne se laisse pas rabrouer de la sorte, et encore moins dicter sa conduite. Encore moins par une demoiselle ! ».Êtes-vous sĂ»r de cela, Fils ?*Non, MĂšre, d'accord, MĂšre...*C'est mieux... Gentils garçon...NĂ©anmoins, il n'Ă©tait pas forcĂ©ment content. Si lui n'avait pas le droit de se trouver ici et maintenant, au nom de quoi LorelaĂŻ s'exemptait des obligations auxquelles il Ă©tait assujettis ? Il se demandait bien quelles affaires sĂ©rieuses l'avait amenĂ©es Ă  enfreindre elle aussi le Pontifiant RĂšglement. Dans tout les cas, son projet Ă  lui tombait bel et bien Ă  l'eau par la prĂ©sence de sa consƓur. A bien regarder, tout cela fleurait fort la loucherie. Il fronça des sourcils et la Permets-moi, Ô Brillantissime Muse, de te demander... ». Au diable le langage ampoulĂ© ! Et toi, qu'as-tu Ă  faire ici ? ».Ses yeux mirĂšrent la scĂšne et remarquĂšrent l'ouvrage Ă  terre ce qui n'Ă©tait guĂšre une place pour un grimoire, soit dit en passant, puis s’ouvrirent comme des soucoupes quand un cri mit fin Ă  la diarrhĂ©e interrogatoire qu'il s'apprĂȘtait Ă  rĂ©pandre. Il se prĂ©cipita vers un sac posĂ© non loin de lĂ , laissant en plan la Serdy d'Elite. A n'en point douter, Ă  moins d'ĂȘtre atteint d'une foldinguerie manifeste, ça bougeait Ă  l'intĂ©rieur. L'avait-il interrompue alors qu'elle s’apprĂȘtait Ă  vendre son Ăąme au Malin ? Comptait-elle s'adonner Ă  une cĂ©rĂ©monie hĂ©rĂ©tique, impliquant un sacrifice ? Il ne pouvait le Dis moi sĂ©ance tenante ce qu'il se passe ! Et ne rĂȘve pas, je ne bougerai pas d'un iota ! ».Peut-ĂȘtre jamais ne s'Ă©tait-il senti aussi dĂ©terminĂ©. Il connaĂźtrait le fin mot de cette histoire. Re La nuit dans la bibliothĂšqueContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum 29 Un peu instable 30 Un peu instable 31 Assez stable 1 Un peu instable ~ l/m2 13% 2 Un peu instable 3 Assez stable 4 Un peu instable Le 29 Aug sera chaud, et le temps sera instable, avec fort risque de tempĂȘte. Le ciel sera clair 1% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mĂštres Altostratus, Altocumulus La minimale sera de 22 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 29 degrĂ©s Celsius. Le vent sera faible, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1013 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Lundi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0800 22 °C 23 °C 9 km/h 12 km/h 1014 mb 5,027 m 298 m AoĂ»t, 29 0800 Un peu instable 1100 27 °C 28 °C 15 km/h 17 km/h 1014 mb 5,150 m 1,372 m AoĂ»t, 29 1100 Un peu instable 1400 29 °C 31 °C 15 km/h 17 km/h 1012 mb 5,206 m 2,533 m 1/4 AoĂ»t, 29 1400 Un peu instable 1700 28 °C 30 °C 18 km/h 20 km/h 1011 mb 5,239 m 1,843 m AoĂ»t, 29 1700 Un peu instable 2000 23 °C 24 °C 13 km/h 14 km/h 1013 mb 5,180 m 42 m AoĂ»t, 29 2000 Un peu instable 2300 22 °C 23 °C 10 km/h 10 km/h 1014 mb 4,956 m 24 m AoĂ»t, 29 2300 Un peu instable Le 30 Aug sera chaud, et le temps sera instable, avec fort risque de tempĂȘte. Le ciel sera lĂ©gĂšrement nuageux 15% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mĂštres Altostratus, Altocumulus La minimale sera de 20 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 31 degrĂ©s Celsius. Le vent sera modĂ©rĂ©, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1014 mb. L’humiditĂ© relative sera modĂ©rĂ©e. Mardi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 21 °C 22 °C 9 km/h 10 km/h 1014 mb 4,795 m 14 m AoĂ»t, 30 0200 Un peu instable 0500 20 °C 21 °C 7 km/h 8 km/h 1014 mb 4,763 m 12 m AoĂ»t, 30 0500 Un peu instable 0800 24 °C 26 °C 9 km/h 15 km/h 1015 mb 4,790 m 302 m AoĂ»t, 30 0800 Un peu instable 1100 29 °C 31 °C 16 km/h 19 km/h 1015 mb 4,764 m 1,421 m AoĂ»t, 30 1100 Un peu instable 1400 30 °C 33 °C 15 km/h 16 km/h 1013 mb 4,739 m 2,940 m AoĂ»t, 30 1400 Un peu instable 1700 30 °C 32 °C 16 km/h 20 km/h 1011 mb 4,760 m 2,703 m AoĂ»t, 30 1700 Un peu instable 2000 21 °C 21 °C 24 km/h 24 km/h 1017 mb 4,789 m 176 m AoĂ»t, 30 2000 Un peu instable 2300 21 °C 21 °C 12 km/h 30 km/h 1017 mb 4,793 m 201 m AoĂ»t, 30 2300 Assez stable Le 31 Aug sera ambiance confortable, et le temps sera constante, avec risque de tempĂȘte. Le ciel sera partiellement nuageux 8% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mĂštres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 2% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mĂštres Altostratus, Altocumulus 13% nuages de basse altitude au-dessous de 2 000 mĂštres Cumulus, Stratocumulus, Stratus, Fractostratus La minimale sera de 17 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 26 degrĂ©s Celsius. Le vent sera fort, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1015 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Mercredi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 18 °C 18 °C 13 km/h 20 km/h 1017 mb 5,014 m 103 m AoĂ»t, 31 0200 Assez stable 0500 17 °C 17 °C 11 km/h 21 km/h 1017 mb 5,104 m 119 m AoĂ»t, 31 0500 Assez stable 0800 20 °C 19 °C 21 km/h 40 km/h 1017 mb 5,108 m 908 m AoĂ»t, 31 0800 Assez stable 1100 24 °C 25 °C 35 km/h 39 km/h 1015 mb 4,959 m 1,328 m AoĂ»t, 31 1100 Un peu instable 1400 26 °C 27 °C 29 km/h 32 km/h 1013 mb 4,911 m 2,132 m AoĂ»t, 31 1400 Un peu instable 1700 24 °C 25 °C 33 km/h 34 km/h 1013 mb 4,973 m 1,407 m AoĂ»t, 31 1700 Un peu instable 2000 20 °C 21 °C 18 km/h 29 km/h 1014 mb 5,023 m 161 m AoĂ»t, 31 2000 Un peu instable 2300 19 °C 19 °C 14 km/h 15 km/h 1015 mb 5,113 m 59 m AoĂ»t, 31 2300 Un peu instable Le 1 Sep sera ambiance confortable, et le temps sera lĂ©gĂšrement instable, avec risque de tempĂȘte. Il y a 13% de chances de pluie faible accompagnĂ©es d’averses. Le ciel sera couvert 59% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mĂštres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 9% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mĂštres Altostratus, Altocumulus 26% nuages de basse altitude au-dessous de 2 000 mĂštres Cumulus, Stratocumulus, Stratus, Fractostratus 1% nuages convectifs Cumulonimbus La minimale sera de 17 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 26 degrĂ©s Celsius. Le vent sera modĂ©rĂ©, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1013 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Jeudi MĂ©tĂ©o PrĂ©cipitation mm probabilitĂ© Averses % des PrĂ©cipitation TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 18 °C 18 °C 10 km/h 19 km/h 1015 mb 5,037 m 95 m Sept., 1 0200 Un peu instable 0500 18 °C 18 °C 8 km/h 14 km/h 1015 mb 4,997 m 62 m Sept., 1 0500 Un peu instable 0800 20 °C 20 °C 15 km/h 22 km/h 1015 mb 4,998 m 644 m Sept., 1 0800 Un peu instable 1100 24 °C 24 °C 27 km/h 31 km/h 1015 mb 4,916 m 1,447 m Sept., 1 1100 Un peu instable 1400 25 °C 27 °C 24 km/h 26 km/h 1012 mb 4,913 m 1,896 m Sept., 1 1400 Un peu instable 1700 24 °C 24 °C 22 km/h 26 km/h 1012 mb 4,935 m 944 m Sept., 1 1700 Un peu instable 2000 20 °C 21 °C 13 km/h 18 km/h 1013 mb 4,940 m 13 m Sept., 1 2000 Un peu instable 2300 13% 100% 19 °C 20 °C 8 km/h 11 km/h 1014 mb 5,014 m 11 m Sept., 1 2300 Un peu instable Le 2 Sep sera chaud, et le temps sera lĂ©gĂšrement instable, avec risque de tempĂȘte. Le ciel sera partiellement nuageux 21% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mĂštres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 4% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mĂštres Altostratus, Altocumulus La minimale sera de 17 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 29 degrĂ©s Celsius. Le vent sera modĂ©rĂ©, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1012 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Vendredi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 18 °C 19 °C 7 km/h 8 km/h 1013 mb 5,003 m 11 m Sept., 2 0200 Un peu instable 0500 17 °C 18 °C 6 km/h 7 km/h 1014 mb 4,946 m 11 m Sept., 2 0500 Un peu instable 0800 21 °C 22 °C 5 km/h 9 km/h 1014 mb 5,003 m 334 m Sept., 2 0800 Un peu instable 1100 25 °C 27 °C 11 km/h 15 km/h 1013 mb 5,148 m 1,331 m Sept., 2 1100 Un peu instable 1400 28 °C 30 °C 15 km/h 21 km/h 1011 mb 5,195 m 2,011 m Sept., 2 1400 Un peu instable 1700 29 °C 31 °C 21 km/h 21 km/h 1010 mb 5,298 m 2,393 m Sept., 2 1700 Un peu instable 2000 23 °C 24 °C 12 km/h 18 km/h 1013 mb 4,987 m 12 m Sept., 2 2000 Un peu instable 2300 22 °C 22 °C 13 km/h 18 km/h 1014 mb 5,223 m 11 m Sept., 2 2300 Un peu instable Le 3 Sep sera chaud, et le temps sera lĂ©gĂšrement instable, avec risque de tempĂȘte. Le ciel sera lĂ©gĂšrement nuageux 1% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mĂštres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 13% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mĂštres Altostratus, Altocumulus La minimale sera de 19 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 30 degrĂ©s Celsius. Le vent sera fort, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1013 mb. L’humiditĂ© relative sera modĂ©rĂ©e. Samedi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 20 °C 21 °C 9 km/h 9 km/h 1013 mb 5,404 m 13 m Sept., 3 0200 Un peu instable 0500 19 °C 20 °C 8 km/h 9 km/h 1014 mb 5,199 m 13 m Sept., 3 0500 Assez stable 0800 23 °C 25 °C 16 km/h 40 km/h 1014 mb 5,272 m 987 m Sept., 3 0800 Assez stable 1100 27 °C 29 °C 36 km/h 44 km/h 1014 mb 5,279 m 2,187 m Sept., 3 1100 Assez stable 1400 29 °C 31 °C 32 km/h 39 km/h 1013 mb 5,207 m 2,713 m Sept., 3 1400 Assez stable 1700 28 °C 30 °C 28 km/h 38 km/h 1011 mb 5,287 m 2,524 m Sept., 3 1700 Un peu instable 2000 23 °C 23 °C 16 km/h 19 km/h 1014 mb 4,646 m 26 m Sept., 3 2000 Un peu instable 2300 21 °C 22 °C 10 km/h 11 km/h 1015 mb 4,794 m 20 m Sept., 3 2300 Un peu instable Le 4 Sep sera ambiance confortable, et le temps sera lĂ©gĂšrement instable, avec risque de tempĂȘte. Le ciel sera clair 6% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mĂštres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus La minimale sera de 18 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 28 degrĂ©s Celsius. Le vent sera fort, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1012 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Dimanche MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 19 °C 20 °C 12 km/h 13 km/h 1015 mb 4,905 m 33 m Sept., 4 0200 Un peu instable 0500 18 °C 19 °C 11 km/h 32 km/h 1014 mb 4,948 m 138 m Sept., 4 0500 Un peu instable 0800 22 °C 22 °C 26 km/h 47 km/h 1014 mb 4,993 m 968 m Sept., 4 0800 Un peu instable 1100 26 °C 27 °C 37 km/h 49 km/h 1013 mb 4,969 m 1,618 m Sept., 4 1100 Un peu instable 1400 28 °C 30 °C 38 km/h 43 km/h 1011 mb 4,942 m 2,068 m Sept., 4 1400 Un peu instable 1700 26 °C 27 °C 34 km/h 43 km/h 1010 mb 4,996 m 1,925 m Sept., 4 1700 Un peu instable 2000 22 °C 22 °C 27 km/h 41 km/h 1012 mb 4,995 m 295 m Sept., 4 2000 Un peu instable 2300 19 °C 19 °C 18 km/h 27 km/h 1014 mb 5,025 m 127 m Sept., 4 2300 Un peu instable Le 5 Sep sera ambiance confortable, et le temps sera . Le ciel sera 59% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mĂštres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 26% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mĂštres Altostratus, Altocumulus 36% nuages de basse altitude au-dessous de 2 000 mĂštres Cumulus, Stratocumulus, Stratus, Fractostratus La minimale sera de 17 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 25 degrĂ©s Celsius. Le vent sera trĂšs fort, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 5059 mb. L’humiditĂ© relative sera . Lundi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 18 °C 18 °C 15 km/h 23 km/h 1013 mb 4,780 m 101 m Sept., 5 0200 Un peu instable 0500 17 °C 17 °C 15 km/h 33 km/h 1013 mb 4,908 m 187 m Sept., 5 0500 Assez stable 0800 20 °C 19 °C 34 km/h 40 km/h 1013 mb 4,864 m 752 m Sept., 5 0800 Un peu instable 1100 24 °C 25 °C 42 km/h 43 km/h 1012 mb 4,925 m 1,344 m Sept., 5 1100 Un peu instable 1400 25 °C 26 °C 36 km/h 43 km/h 1011 mb 4,785 m 1,502 m Sept., 5 1400 Un peu instable AĂ©rostation FAUJAS DE SAINT-FOND BarthĂ©lemy Description des expĂ©riences de la machine aĂ©rostatique de MM. de Montgolfier, et de celles auxquelles cette dĂ©couverte a donnĂ© lieu ; suivie de recherches sur la hauteur Ă  laquelle est parvenu le ballon du Champ-de-Mars ; sur la route qu'il a tenue ; sur les diffĂ©rens degrĂ©s de pesanteur de l'air dans les couches de l'atmosphĂšre ; d'un MĂ©moire sur le gas inflammable et sur celui qu'ont employĂ© MM. de Montgolfier ; sur l'art de faire les machines aĂ©rostatiques, de les couper, de les remplir, et sur la maniĂšre de dissoudre la gomme Ă©lastique, etc., etc. ; d'une Lettre sur les moyens de diriger ces machines, et sur les diffĂ©rens usages auxquels elles peuvent ĂȘtre employĂ©es. Ouvrage ornĂ© de neuf planches en taille-douce, reprĂ©sentant les diverses machines qui ont Ă©tĂ© construites jusqu'Ă  ce jour, particuliĂšrement celle de Versailles, et celle dans laquelle des hommes ont Ă©tĂ© enlevĂ©s jusqu'Ă  la hauteur de 324 pieds, etc., etc.. Seconde Ă©dition. Paris, Cuchet, 1784. 2 volumes. 13 par 21 cm. 1 frontispice-XL-302-2 pages + 8 planches hors-textes, et 1 tableau dĂ©pliant ; 2-366-2 pages + 5 planches hors-textes complet. BrochĂ©s, non rognĂ©s, sous couverture d'attente de l'Ă©poque en papier marbrĂ©. Une page avec une petite dĂ©chirure sans manque dans le tome 1. TrĂšs bon Ă©tat gĂ©nĂ©ral. Le second volume a pour titre PremiĂšre suite de la description des expĂ©riences aĂ©rostatiques [] ; contenant les voyages aĂ©riens de la Muette, des Tuileries, de Lyon, de Milan, du Champ-de-Mars, &c. &c. Plusieurs mĂ©moires de MM. de Montgolfier, & de M. le Comte de Milly, sur la maniĂšre de diriger les aĂ©rostates, sur la dilatation de l'air & les moyens les plus simples & les moins dangereux d'augmenter ou de diminuer la chaleur Ă  volontĂ© ; diffĂ©rentes maniĂšres d'obtenir l'air inflammable & les moyens d'en remplir un globe de 30 pieds de diamĂštre en deux heures ; un mĂ©moire sur la gomme Ă©lastique ou caoutchouc, avec la maniĂšre de faire un vernis Ă  peu de frais, absolument semblable Ă  celui de la gomme Ă©lastique, &c. &c.. 2e Ă©dition pour le tome I 1783 et Ă©dition originale pour le tome II. Les pp. 300 Ă  302 du t. I contiennent le procĂšs-verbal de l'expĂ©rience de la Muette 21 novembre 1783, qui ne se trouve pas dans l'Ă©dition originale. TrĂšs intĂ©ressant envoi manuscrit de EugĂšne Godard, fils d'un pionnier de l'aĂ©rostation, lui-mĂȘme cĂ©lĂšbre aĂ©rostier dĂ©tenteur de plusieurs records mondiaux d'altitude et de distance, et constructeur de ballons. Il fit, en 1873, une ascension avec son pĂšre en compagnie de Jules Verne ; ce dernier retraça son aventure dans une brochure "Vingt-quatre minutes en ballon". EugĂšne Godard remercie Monsieur de Beaufort de l'hospitalitĂ© qui lui a Ă©tĂ© offerte aprĂšs la pose du ballon postal "le MĂ©tĂ©ore" devant le chĂąteau de son hĂŽte en 1894. Naturaliste et gĂ©ologue, Faujas de Saint-Fond soutenait financiĂšrement les recherches aĂ©rostatiques des frĂšres Montgolfier dont le premier ballon s'Ă©tait Ă©levĂ© d'Annonay en juin 1783, suivi en septembre d'un ballon portant des animaux de ferme, pour arriver finalement au premier vol humain, rĂ©ussi par le marquis d'Arlandes et PilĂątre de Rozier.

un peu de chaleur en dessus de page