Ilétait une fois dans l'ouest Un homme à l'harmonica poursuit inlassablement Frank, un tueur sans pitié aux yeux bleus à la solde du patron des chemins de fer. L'Ouest se civilise, mais la h
JasonRobards qui joue d'ailleurs dans "Il était une fois dans l'Ouest" Oui. J'avais une scène d'amour avec Henry Fonda. Mais son épouse se
UnFilm > Il était une fois dans l'Ouest. Mots Clés. Sergio Leone, western italien, Ennio Morricone. Année d'édition. 2010 (épuisé ou diffusion restreinte) Editeur. Éditions de la Transparence. Collection. Cinéphilie.
Ilétait une fois dans l'ouest. Ennio Morricone (Compositeur) Bande originale de film (Genre) CD album Paru le 17 juin 2003. 4. 5 avis - 5
HenryFonda, Claudia Cardinale , Sergio Leone, Charles Bronson et Jason Robards. "Il était une fois dans l'Ouest" de Sergio Leone. 1968. Girardot. Musique. Claudia Cardinale. Blake Edwards. Marcello Mastroianni. Gina Lollobrigida. Claudia Cardinale, Once Upon a Time in the West, 1968.
Téléchargezla partition Saxophone Il était une fois dans l'Ouest - L'homme à l'harmonica (niveau intermédiaire, sax alto) de Ennio Morricone. Partition
Leprojet de film Il était une fois dans l'Ouest du Poitou est né il y a presque 3 ans, à l'occasion du tournage du film de fin d'étude de Marion.Maxence et elle rencontraient Eric, un cowboy à la française qui participait déjà régulièrement aux contentions -
REGARDER] Il était une fois dans l'Ouest (1968) Film Complet Streaming VF En Vostfr Il était une fois dans l'Ouest - Trois hors-la-loi attaquent un mystérieux inconnu, surnommé «Hombre», dans une gare perdue de l'Ouest américain. Mais l'homme réussit à les éliminer. Il se met ensuite à jouer un air lancinant sur son harmonica. Pendant ce temps, le
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Il était une fois dans l’ouest Italie, États-Unis 1968 Titre original C’era una volta il West Réalisation Sergio Leone Scénario Bertolucci, Argento, Leone, Donati Acteurs Claudia Cardinale, Charles Bronson, Henry Fonda Distribution Splendor Films Durée 2h45 Genre Western Date de sortie cinéma 27 août 1969 5/5 L’exposition Sergio Leone à la Cinémathèque Française a ouvert ses portes ce mercredi 10 octobre. Une exposition qui n’est pas seulement l’occasion de se plonger dans la vie du cinéaste italien ou d’acheter une réplique du poncho de Clint Eastwood à la librairie de la fondation, mais aussi de voir ou revoir sur grand écran son œuvre. Une œuvre qui compte seulement une poignée de longs-métrages, mais plusieurs chefs-d’œuvre … Qu’est-ce qui n’a pas encore été dit sur Il était une fois dans l’ouest ? Monolithe du cinéma, allant jusqu’à symboliser le genre auquel il rend hommage, le quatrième et dernier western de Sergio Leone fête ses cinquante ans. A l’instar d’un autre long-métrage cinquantenaire cette année, 2001 l’odyssée de l’espace, il n’a pas pris une ride, et semble gravé pour l’éternité dans le marbre dans grands œuvres. Revoir Il était une fois dans l’ouest, sur grand écran qui plus est, c’est tout comme le film de Kubrick se trouver encore surpris par un film qu’on pensait pourtant connaître. Le considérer comme assez classique dans une période contestataire serait peut-être un raccourci trop facile. Il raconte certes un des grands mythes fondateurs, si ce n’est le grand mythe fondateur des Etats-Unis celui du chemin de fer qui repousse toujours plus les frontières, s’enfonçant dans l’ouest lointain pour atteindre l’océan. Pour autant, pas de glorification facile dans l’impression de la légende la Destinée Manifeste n’est pas l’œuvre de courageux soldats / fermiers luttant pour la civilisation », mais celle de personnages de mauvaise vie. Même la pourtant rayonnante Jill, incarnée par Claudia Cardinale, est souvent rappelée à sa condition de prostituée de la Nouvelle-Orléans par ceux qui s’opposent à elle – ce qui ne l’empêchera pas de s’imposer comme le plus fort protagoniste du film. Plus que des personnages, ceux qu’on croise dans Il était une fois dans l’ouest – comme dans les autres films de Leone – sont de véritables gueules », des hommes parfois affreux, parfois sales, parfois méchants. Ce qui n’empêche pas Sergio Leone de leur vouer une certaine admiration au final, le plus mauvais bougre du récit, c’est l’homme en apparence le plus respectable. Un entrepreneur qui rêve de voir l’océan, et que le cinéaste semble ravi de faire expier dans une flaque de boue. Chose que l’auteur de ces lignes n’avait jamais remarqué, pourtant flagrante on retrouve au cœur d’il était une fois dans l’ouest un bon Harmonica / Charles Bronson, une brute Cheyenne / Jason Robards, et un truand Frank / Henry Fonda, avec en plus un personnage auquel de tout tourne – Jill. Si, au contraire du film précédent, chacun reste dans sa catégorie, les protagonistes sont pourtant encore plus attachants. L’humanité de Cheyenne en particulier frappe le spectateur en apparence le moins respectable, l’évolution de sa relation avec Harmonica et Jill est poignante. L’emploi d’Henry Fonda, terrifiant et fascinant à la fois, nous rappelle aussi que le film est parcouru d’innombrables références. Il était une fois dans l’ouest est en effet conçu comme un grand hommage au genre préféré de Sergio Leone, élaboré à huit mains par – excusez du peu ! – Leone, Bernardo Bertolucci, Dario Argento et Sergio Donati. Enfin, Harmonica, homme sans nom, aurait sûrement pu être joué par Clint Eastwood, mais le fait qu’il soit campé par Charles Bronson permet au film de se détacher de la trilogie du dollar » bien que les trois films n’aient pas vraiment de lien autre que l’archétype du Man with no name et de ses acteurs, s’affirmant comme un bloc indépassable. Tout le reste, il semble presque inutile de le rappeler. Visuellement, on atteint des sommets, mêlant plans cadrés à la perfection et photo au diapason incroyable de voir à quel point les yeux bleus d’Henry Fonda ressortent, entre mille exemples regret minime dommage que la copie présentée à la cinémathèque soit numérique, et non pas argentique ! Il est intéressant de se rendre compte qu’un film établi depuis 50 ans comme une référence visuelle est lui-même nourri de références, comme expliqué précédemment pour l’aspect scénaristique. Si par exemple le point de vue subjectif partant d’un cercueil est maintes fois repris chez Tarantino pour citer le plus célébré, Leone rend plusieurs fois hommage au célèbre plan de la porte » dans La prisonnière du désert lors des premières images d’une introduction légendaire, mais aussi lors de l’assassinat de la famille McBain. Enfin, musicalement, il s’agit bien entendu d’un véritable caviar auditif, et la musique d’Ennio Morricone a beau avoir été réutilisée dans les contextes les plus incongrus, de la publicité à la télévision, chaque scène où retenti l’harmonica ou le thème principal provoquera des frissons, même chez le moins réceptif des spectateurs en tout cas, on l’espère ! Il était une fois dans l’ouest indémodable fresque, qui telle une locomotive semble avancer sans s’arrêter pour trois heures qui passent comme un songe. Sergio Leone joue avec le temps, le ralentit et l’accélère, pour en fin de compte s’inscrire dans l’Histoire tout en narrant celle d’un mythe. Un mythe parfois comique et parfois tragique, magnifique récit qui laisse derrière lui une trace indélébile, et quelques notes d’harmonica …
Accueil Cinémas Western Le film Voir les séances 4 avis Cinémas Western 2h55 Réédition Avant-première Réalisation Sergio Leone Principaux artistes Henry Fonda, Claudia Cardinale, Charles Bronson, Jason Robards Genre Western Titre original C'era una volta il west Nationalité Etats-Unis, Italie Durée 2h55 Année de réalisation 1968 Date de sortie 10 octobre 2018 Date de première mise en salle 27/08/1969 Distributeur Carlotta Films Présentation Venue de la Nouvelle-Orléans, Jill rejoint son mari Brett McBain au cœur de l’Ouest américain. Mais celui-ci vient d’être assassiné par Frank, un tueur à la solde d’un magnat des chemins de fer, Morton. Le criminel fait en sorte de faire accuser du meurtre un chef de bande, Cheyenne. D'autre part, un inconnu jouant de l’harmonica se débarrasse de trois malfrats envoyés par Frank pour le supprimer, une haine réciproque opposant les deux hommes. Jill a hérité du territoire acquis par son défunt époux, point d’eau nécessaire à l’acheminement des convois ferroviaires. Frank serait sur le point de l’en déposséder sans l’intervention d’Harmonica qui réussit à l’arracher aux était une fois dans l’Ouest constitue le premier volet d’une trilogie complétée par Il était une fois la révolution et Il était une fois en Amérique. Le film, qui fêtera ses 50 ans l'année prochaine, est proposé en écho à la rétrospective et l'exposition consacrées à Sergio Leone par La Cinémathèque Française à partir du 10 octobre 2018. Cette restauration fut réalisée en 2011 par The Film Foundation et supervisée par Martin Scorsese. Casting Réalisation Sergio Leone Distribution Henry Fonda Frank, Claudia Cardinale Jill McBain, Charles Bronson l'homme à l'harmonica, Jason Robards Cheyenne, Gabriele Ferzetti Morton, Keenan Wynn le shérif de Flagstone, Woody Strode Stony, Franck Wolff Brett McBain, Paolo Stoppa Sam, Lionel Stander le barman, Jack Elam Snaky, John Frederick Jim Casting technique Sergio Donati Scénario, Ennio Morricone Musique, Tonino Delli Colli Direction artistique, Dario Argento Scénario original, Sergio Leone Scénario, Bernardo Bertolucci Scénario original, Sergio Leone Scénario original Derniers avis Avis publié par tibboH le 28 août 2019 Ce film est sorti en France il y a exactement 50 ans et un jour. C'est LA pépite des extraordinaires autres westerns de Sergio Leone Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus, Le Bon, la Brute et le Truand, Mon nom est Personne Avec cet avant dernier opus, Sergio Leone a enterré les autres westerns spaghetti, lesquels ont enterré tous les westerns US avant eux. Les enchainements entre les scènes, les décors, costumes, les cadrages font encore date dans les écoles de cinéma du monde entier. Pour moi, les seules critiques compréhensibles de ce film peuvent venir des gens qui n'ont pas eu la chance de le voir au cinéma. Tout comme "Le Grand Bleu" par exemple, "Il était une fois dans l'Ouest" est un film d'ambiance, dans lequel il faut se plonger. C'est très clair dès le début avec ces 14 minutes de générique sans aucune parole ou presque. Et voilà mon problème Je suis arrivé sur cette page par un moteur de recherche qui me promettait les prochaines séances de de film en salle. Je me suis dit qu'avec cet anniversaire, une telle anachronie aurait été possible! Hélas non! Cette page n'est qu'une coquille vide, qui ne me donne qu'une fiche très synthétique sur ce diamant, et qui me laisse sur ma faim comme toi aussi peut-être, qui me lit et orphelin de la séance racoleusement promise.... Avis publié par josée Corbiere le 28 juillet 2019 Un chef d'oeuvre...Un MUST! Avis publié par Christophe le 10 octobre 2018 Un de mes films préférés... Il repasse en salle, format idéal pour le voir, courez-y! Attention pour les jeunes nourris aux vidéos de 2 minutes de youtube c'est un film lent, pour lequel il faut prendre son temps... ; à savourer sans portable en main pendant 3 heures ; Avis publié par Jerome lupi le 25 septembre 2016 Juste un chef d'œuvre. À voir également... 4 avis sur Il était une fois dans l'Ouest Avis publié par tibboH le 28 août 2019 Ce film est sorti en France il y a exactement 50 ans et un jour. C'est LA pépite des extraordinaires autres westerns de Sergio Leone Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus, Le Bon, la Brute et le Truand, Mon nom est Personne Avec cet avant dernier opus, Sergio Leone a enterré les autres westerns spaghetti, lesquels ont enterré tous les westerns US avant eux. Les enchainements entre les scènes, les décors, costumes, les cadrages font encore date dans les écoles de cinéma du monde entier. Pour moi, les seules critiques compréhensibles de ce film peuvent venir des gens qui n'ont pas eu la chance de le voir au cinéma. Tout comme "Le Grand Bleu" par exemple, "Il était une fois dans l'Ouest" est un film d'ambiance, dans lequel il faut se plonger. C'est très clair dès le début avec ces 14 minutes de générique sans aucune parole ou presque. Et voilà mon problème Je suis arrivé sur cette page par un moteur de recherche qui me promettait les prochaines séances de de film en salle. Je me suis dit qu'avec cet anniversaire, une telle anachronie aurait été possible! Hélas non! Cette page n'est qu'une coquille vide, qui ne me donne qu'une fiche très synthétique sur ce diamant, et qui me laisse sur ma faim comme toi aussi peut-être, qui me lit et orphelin de la séance racoleusement promise.... Avis publié par josée Corbiere le 28 juillet 2019 Un chef d'oeuvre...Un MUST! Avis publié par Christophe le 10 octobre 2018 Un de mes films préférés... Il repasse en salle, format idéal pour le voir, courez-y! Attention pour les jeunes nourris aux vidéos de 2 minutes de youtube c'est un film lent, pour lequel il faut prendre son temps... ; à savourer sans portable en main pendant 3 heures ; Avis publié par Jerome lupi le 25 septembre 2016 Juste un chef d'œuvre. Nota Bene pour être publié, le contenu de votre avis doit respecter nos conditions générales d'utilisation. Newsletter Chaque mercredi, le meilleur des sorties culturelles à Paris. 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